Dans les médias de Miami ces euphemismes passent directement à une apologie ouverte de son histoire terroriste. Après la mort d'Orlando Bosch le journal El Nuevo Herald, actuel propriété du journal espagnol El País, dédia un grand espace à l'exaltation du terroriste sous le titre de : "Les Exilés montrent leur regrêts pour la mort de Bosch" (8). Dans le texte le président de la Fondation nationale Cubano-américaine le qualifia comme "lutteur pour la démocratie"; le directeur du dénommé Institut de la Mémoire Histoirique Cubaine contre le Totalitarisme qui commémorait le "demi siècle de lutte armé contre Castro" affirma qu'avec le décédé "l'unira (pour toujours) l'amour de la patrie"; Pedro Roig, de l'Université de Miami, qualifia Bosch come un "grand patriote" et la présidente du Comité des Relations Extérieure du Congrès des Etats-Unis, Ileana Ros-Lehtinen, lui écrivit une émotive lettre d'adieux où elle le qualifiait de "combattant".
Le double standard à l'heure d'étiqueter ou non comme terroriste ceux qui pratique la violence politique en dehors de l'état est appliquable à d'autres figures de la contre-révolution cubaine. Parmi les dernier prisonniers qu'a libéré le gouvernement cubain et qui sont arrivés en territoire espagnol au moins 7 purgeainet des peinbes pour sabotages, attentats ou piraterie (9). C'est le cas d'Efraín Rivas qui mitrailla en 1996 un hôtel de la chaîne Sol Meliá à Varadero. Les agences et médias, loin de l'étiqueter comme terroriste le dénommèrent "prisonnier qui participa à un infiltration armée anticastriste" (10).
Une autre cas curieux est celui de Néstor Rodríguez Lobaina qui quelques jours après être arrivé en territoire espagnol dénonçait les autorités espagnols et la Croix Rouge pour la lenteur dans le paiement de son aide économique mensuelle (11)ainsi que pour le fait d'avoir été transporté en autobus jusqu'à sa destination finale de Malaga (12). Il accusa aussi le gouvernement et les médias espagnols de "le silencier". Les activité à Cuba de ce bruyant "dissident" étaient financées depuis Miami entre autre par Humberto Illa, coordinateur de la dénommée Convention Internationale Anticommuniste (13) (14). Illa est un fanatique paramilitaire, membre du groupe terroriste Alpha 66, qui s'autodéfinit comme nazi et à travers de Facebook fait des appels constant à l'assassinat de tous ceux qu'il considèrent comme "communiste" (15). Sur sa page Facebook on peut lire coment il déclare ouvertement qu'il envoya de l'argent à Nestor Rodríguez Robaina et à d'autres membres de la dénommé "opposition" cubaine (16).
Les mêmes médias qui un instant étiquetent come terroriste ceux qui exercent la violence depuis certaines position idéologiques préfèrent les euphémismes complices quand ils doivent informe sur des criminels d'origine cubaine avec qui ils partagent leur inimité contre le gouvernement de l'ïle.
Sur les liens de supposé "ex-prisonniers de conscience" cubain avec les terroristes et nazis de Miami ils préfèrent ne rien dire.
(1) http://newsgroups.derkeiler.com/Arc...
(2) http://www.panoramadigital.com.do/f...
(3) http://www.bbc.co.uk/mundo/noticias...
(4) http://www.chron.com/disp/story.mpl...
(5) http://www.europapress.es/latam/pol...
(6) http://www.noticias24.com/actualida...
(7) http://www.informador.com.mx/intern...
(8) http://www.elnuevoherald.com/2011/0...
(9) http://www.larazon.es/noticia/2895-...
(10) http://www.que.es/ultimas-noticias/...
(11) http://www.europapress.es/latam/cub...
(12) http://www.finanzas.com/noticias/cu...
(13) http://www.convencion-internacional...
(14) http://bloguerosrevolucion.ning.com...
(15) http://es-la.facebook.com/people/Hu...
(16) Ecrit par l'auteur sur sa page facebook (le 10 avril 2011 à 19h12) "[...] sans compter avec l'argent que jai envoyer à l'opposition interne, qui est un secret, mais seulement en 18 jour pour un seul opposant (Nestror Rodríguez Lobaina, d'Oriente) m'a coûté 450, à un seul parce que j'en envois à beaucoup".
Source : Forum Unité Communiste