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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 09:08

LA HAVANE (AFP) - Le président du Guatemala, Alvaro Colom, a présenté mardi des excuses officielles à Cuba pour la "Baie des Cochons", la tentative d'invasion orchestrée en 1961 par les Etats-Unis afin de renverser Fidel Castro.

"Je veux présenter des excuses à Cuba pour avoir prêté notre pays, notre territoire, pour avoir préparé l'invasion de Cuba", a déclaré M. Colom, lors d'un discours à l'Université de La Havane, où il effectue une visite d'Etat.

La "Baie des Cochons" fait référence à l'invasion avortée menée en avril 1961 par un groupe d'exilés cubains, qui avaient été formés par la CIA, l'agence de renseignement américain, à partir du territoire du Guatemala.

A la suite de cet épisode, Fidel Castro, bête noire de l'administation américaine, avait annoncé officiellement le caractère socialiste de la Révolution cubaine.

Les relations diplomatiques entre le Guatemala et Cuba, gelées durant des décennies à l'époque de la Guerre froide, n'ont été renouées qu'en 1998.

Salué par une forte ovation, M. Colom a précisé qu'il présentait "officiellement" ses excuses "en tant que président, chef de l'Etat et commandant en chef de l'armée". "Ce n'était pas nous, mais c'était notre territoire", a-t-il souligné.

Durant sa visite, la cinquième d'un chef d'Etat latino-américain à Cuba depuis le début de l'année, M. Colom a signé des accords économique avec son homologue Raul Castro, qui a succédé en juillet 2006 à son frère Fidel, éloigné du pouvoir par la maladie.

Le président social-démocrate du Guatemala, qui séjourne jusqu'à mercredi à La Havane, a réclamé la levée de l'embargo "injuste" imposé à Cuba par les Etats-Unis depuis 1962.

Il a enfin fait remettre à Fidel Castro la plus haute récompense honorifique du Guatemala, en remerciement à l'aide médicale de Cuba. Plus de 3.500 médecins cubains travaillent au Guatemala et les échanges bilatéraux ont atteint 25 millions de dollars en 2007.

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 16:01

"Chavez est devenu un vrai leader en Amérique latine"

Coordinateur de l'ouvrage "Cuba, 50 ans de révolution", Hernando Calvo Ospina défend le bilan de Fidel Castro et évoque son héritage

Alors que Cuba vient de fêter les 50 ans de la révolution, Hugo Chavez a remporté dimanche un nouveau referendum populaire lui permettant de se représenter en 2012 Revendiquant ouvertement l'héritage de Fidel Castro, le président vénézuelien est considéré par certains comme le nouveau leader de l'Amérique latine.

Comment avez-vous choisi les textes qui composent l'ouvrage ?

J'ai choisi pour ce livre quelques textes peu connus de Fidel Castro, de son frère Raul ou encore de Camilo Cienfuegos. Certaines photos sont également inédites. Mais j'ai aussi donné la parole à des personnalités comme Manu Chao, Danny Glover et même Pierre Richard qui ont un contact direct ou indirect avec Cuba. Il y a un texte assez émouvant du père de Manu Chao, Ramon, qui raconte comment sa grand-mère tomba enceinte du maître pour lequel elle travaillait à Cuba, victime du droit de cuissage qui prévalait à l'époque , au début du XXe siècle. Quant à Danny Glover, il dénonce l'embargo imposé par les Etats-Unis depuis plus de quarante ans.


Comment expliquez-vous le parti pris généralement défavorable de la presse occidentale à l'égard de Cuba ?

Outre les Etats-Unis et surtout Miami (où vit une importante communauté d'opposants, ndlr), l'Espagne et la France se distinguent par cette rage et cette haine qu'expriment la plupart des intellectuels à l'égard de Cuba. C'est un retournement de situation par rapport aux années 1960, époque à laquelle Cuba bénéficiait d'un certain soutien de leur part. Aujourd'hui, et c'est un cas particulier, presque toute la presse, jusqu'au journal l'Humanité, se contente de critiquer le régime. La majorité des détracteurs ne sont d'ailleurs jamais allés sur place et ne connaissent rien des évolutions de la situation sur l'île. Il y a eu des erreurs, bien sûr, et des manquements au cours de la Révolution mais on ne peut pas ignorer les aspects positifs de la politique cubaine : tout le monde est éduqué et soigné gratuitement. Et la société change aussi : au début, les mentalités étaient très machistes et les homosexuels comme les hippies étaient rejetés. Aujourd'hui à Cuba, un transsexuel bénéficie gratuitement de tout l'accompagnement médical et psychologique nécessaire à sa transformation.


L'arrivée de Raul Castro a-t-elle changé la donne ?

Raul est très différent de Fidel. C'est un militaire, très pragmatique qui n'aime pas les grands discours comme Fidel. Il sait déléguer et contrairement à son frère, qui n'a vécu que pour cette Révolution, Raul a aussi une famille qui lui permet de prendre conscience de certaines attentes de la jeunesse.


Justement, la jeunesse qui n'a pas participé à la Révolution n'est-elle pas en décalage avec ceux qui l'ont vécue ?

Le problème vient de la situation économique de l'île, très tendue. L'embargo américain toujours en cours n'arrange pas les choses. Et comme l'Etat donne tout, c'est vrai que les gens ont tendance à tout attendre de l'Etat. Chaque enfant naît avec l 'éducation et la santé données gratuitement. Mais les jeunes veulent aussi des jeans et des adidas. Cela dit, au sein du parti, on trouve toute la nouvelle génération avec, notamment, de nombreuses femmes. Même sans Castro, la Révolution a de beaux jours devant elle.


Que pensez-vous du problème des prisonniers politiques pointé du doigt par plusieurs ONG ?

Le problème, c'est qu'on ne dit jamais qui sont ces personnes emprisonnées. Beaucoup sont payés par des ambassades étrangères pour contrer la Révolution quand ils ne travaillent pas tout simplement pour les Etats-Unis. On brandit toujours ce sujet sur Cuba sans du tout évoquer la répression, les meurtres, les disparitions et l'insécurité chronique qui sont monnaie courante dans certains pays voisins comme le Honduras, le Guatemala, le Salvador ou encore le Mexique. Etre syndicaliste, prêtre, magistrats ou simplement une femme, dans certains pays d'Amérique latine, c'est être en danger.

La dernière victoire d'Hugo Chavez au Venezuela en fait-elle le nouveau leader en Amérique latine ?

Oui, on peut dire qu'après Castro et Allende, Chavez est devenu vrai leader en Amérique latine. Il a remporté toutes les élections jusqu'à présent. Isolée pendant des années, seule contre les Etats-Unis, Cuba bénéficie aujourd'hui d'un appui incroyable dans la région avec le Venezuela mais aussi la Bolivie, le Nicaragua, etc. Des médecins et des ingénieurs cubains interviennent partout dans le monde. Et l'Amérique latine, c'est vrai, a vraiment pris un tournant.


"Cuba, 50 ans de révolution. Hasta la victoria siempre !", éd. Le Temps des Cerises, 18 euros

Journaliste et écrivain, Hernando Calvo Ospina est également l'auteur de "Colombie, derrière le rideau de fumée. Histoire du terrorisme d'Etat", éd. Le Temps des Cerises

 

Propos recueillis par Claire Cousin 

Propos recueillis par Claire Cousin
Metrofrance.com

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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 10:45
Haz click en cualquier video para verlo
Puedes ver otros en radiomundial.com.ve
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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 10:10


Hugo Chavez pourra se représenter à l'élection présidentielle de 2012 pour briguer un troisième mandat.

Selon les résultats publiés par le Conseil national électoral, 54,4 % des électeurs vénézuéliens ont approuvé lors du référendum organisé dimanche 15 février la suppression d'un amendement constitutionnel qui limitait à deux le nombre de mandats présidentiels. Le "non" a recueilli 45,63 % des suffrages.

"Longue vie à la révolution", s'est exclamé Chavez, vêtu de son emblématique chemise rouge, du balcon du palais présidentiel de Miraflores, face à une foule de plusieurs milliers de ses partisans qui ont ensuite entonné l'hymne national. "C'est une victoire nette du peuple, (...) de la révolution", s'est-il exclamé. "La vérité a triomphé sur le mensonge, la dignité de la patrie l'a emporté sur ceux qui la nient, la constance a gagné". "Je jure, qu'à partir de cet instant, je vais me consacrer pleinement au service du peuple, de manière définitive".

Hugo Chavez a ensuite lu un message du dirigeant historique cubain Fidel Castro le premier à le féliciter, selon lui. "Cher Hugo, félicitations à toi et ton peuple pour une victoire qui est d'une telle ampleur qu'elle est impossible à mesurer."

Au pouvoir depuis dix ans, Chavez estime avoir besoin d'au moins dix années supplémentaires pour achever la mise en place de sa révolution d'inspiration socialiste. La règle en vigueur jusque-là n'autorisait pas plus de deux mandats consécutifs, ce qui l'aurait obligé à quitter le pouvoir à l'issue de son deuxième mandat, début 2013.En 2 décembre 2007, les Vénézuéliens avaient rejeté une réforme de la Constitution qui prévoyait déjà la possibilité de réélire le président au-delà de deux mandats de six ans. Cette fois, le président vénézuélien a obtenu ce qu'il souhaitait. Des milliers de partisans du chef de l'Etat ont fêté la victoire du "oui" dans les rues de la capitale agitant des drapeaux rouges, couleur emblématique du mouvement présidentiel, le Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV).

Photo d'archive

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 23:25

MARDI 17 FEVRIER 2009 de 17h à 19h
RASSEMBLEMENT DE SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE BOLIVIEN
ET LE GOUVERNEMENT QU'IL S'EST CHOISI
PLACE DE LA CONCORDE - PARIS

Le Président de la République de Bolivie, Evo Morales Ayma, sera de passage à Paris le 17 février prochain. A cette occasion, le collectif national de solidarité avec la Bolivie appelle à  manifester notre soutien face au processus démocratique profond engagé depuis son élection et à renouveler notre solidarité au peuple bolivien.

Elu avec 54% des voix dès le premier tour en janvier 2006, Le Président Evo Moralès a été conforté dans ses fonctions lors du référendum révocatoire du 10 août 2008 avec plus de 67% des voix. Le triomphe du oui au référendum constitutionnel le 25 janvier 2009, avec 62% des voix,  qui reconnaît la Bolivie comme «un Etat plurinational et démocratique» confirme la volonté du peuple bolivien de voir la fin de l'Etat colonial et la construction d'une Bolivie «pour le bien de tous».

En trois ans , des changements profonds ont vu le jour: récupération du contrôle de l'eau ainsi que des ressources naturelles, réappropriation de l'exploitation des hydrocarbures permettant une redistribution des richesses pour le plus grand nombre, refus du modèle néolibéral, cause de l'appauvrissement et destructeur de l'environnement.

Les peuples indigènes ont retrouvé les droits dont ils avaient été spoliés pendant 5 siècles.

Le 20 décembre 2008, la Bolivie a été déclarée «territoire libre d'analphabétisme», devenant avec Cuba et le Vénezuela le 3ème pays d'Amérique Latine à s'être débarrassé de ce fléau.
Le gouvernement bolivien a mis en place des consultations ophtalmologiques et chirurgicales gratuites,  a construit de nouveaux hôpitaux et organise actuellement de nouvelles campagnes de santé pour tous.
Alors que 87% de la terre productive est entre les mains de 5% de grands propriétaires, la nouvelle Constitution va permettre la redistribution des millions d'hectares aux paysans et aux communautés indigènes.

La nouvelle Constitution bolivienne, fidèle au respect des peuples indigènes à la «Pacha Mama» rend imprescriptible les délits contre l'environnement, interdit la production, l'importation et la commercialisation d'OGM »,  permet de prendre « des mesures de restrictions partielles ou totales, temporelles ou définitives sur l'extraction de ressources », mesures visant à la sauvegarde et préservation des espèces en voie de disparition.
Alors que l'Europe s'apprête à renforcer la «directive de la honte» , bafouant ses propres conventions  sur les droits humains,  le Président Morales lui, a adressé à tous les sans papiers, cette magnifique lettre de «solidarité avec tous les clandestins»,
Avec l'accès au pouvoir des mouvements sociaux, la politique menée actuellement en Bolivie constitue une véritable rupture dans un pays marqué jusqu'alors par l'héritage raciste du colonialisme et par la domination d'une oligarchie soutenue par le grand patronat international.
L'oligarchie bolivienne, celle qui a soutenu les coups d'Etat, les dictatures militaires et le libéralisme le plus sauvage, a cherché par tous les moyens à empêcher la progression du processus en cours, elle s'est appuyée pour cela sur des groupes fascistes et racistes soutenus par l'ex administration Bush.

Ce que le peuple bolivien est en train d'accomplir concerne l'humanité toute entière. La Bolivie avec d'autres pays latino-américains nous prouve qu'il existe d'autres solutions, qu'un autre monde est possible, un monde à visage humain. Ils représentant un  espoir.

C'est pourquoi nous tenons à exprimer au Président Evo Morales, lors de son passage à Paris,  NOTRE ENTIERE SOLIDARITÉ AVEC LE PEUPLE DE BOLIVIE ET LE GOUVERNEMENT QU'IL S'EST CHOISI.

A L'APPEL DU COLLECTIF NATIONAL DE SOLIDARITE AVEC LA BOLIVIE

organisations signataires:




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