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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 10:22

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La Havane, 15 novembre (RHC).- Plus de 8 000 étudiants de 30 pays se sont formés comme médecins à l’École Latino-américaine des Sciences Médicales de La Havane, depuis son inauguration, le 15 novembre 1999 par le leader de la Révolution cubaine, Fidel Castro.

Le docteur Juan Carrizo, le recteur de cette université a signalé que le programme de formation de médecins étrangers dépasse le cadre de cette institution pour s’étendre aux 22 facultés de médecine de Cuba.

Il a souligné qu’avec une conception humaniste et solidaire, le projet continuera de former les praticiens qui feront partie des rangs de l’armée de blouses blanches que Fidel Castro avait augurée, capable d’accomplir les tâches les plus difficiles et complexes. Dans des déclarations à la presse, le docteur Juan Carrizo a signalé :
« Nous sommes réellement très contents d’arriver au onzième anniversaire de ce grand ouvrage. Il s’est consolidé et donne des fruits. Des médecins formés dans les valeurs de la solidarité, de l’internationalisme, de la sensibilité humaine qui caractérisent nos professionnels.

Je crois que le développement atteint par notre système de santé est très important. Nous les Cubains, nous avons le privilège d’avoir un système de santé gratuit, universel, surtout un système de santé humain, qui arrive aussi à tous les peuples.

Sans doute Cuba apporte un grand trésor de santé à tous nos peuples frères. Nos médecins vont aux endroits les plus reculés pour soigner une population qui très souvent n’avait jamais vu un médecin. Nous avons réalisé des opérations aussi belles, grandioses que l’Opération Miracle, qui a rendu la vue à des millions de personnes ».

 

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 10:13

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Séminaire national d’étude du Projet de Lignes Directrices du sixième Congrès


Le premier Séminaire National sur le Projet de Lignes Directrices de la politique Économique et Sociale du Parti et de la Révolution s’est déroulé pendant quatre jours dans les locaux de l’École Supérieure du Parti Ñico López.

Par Yaima Puig Meneses et Leticia Martínez Hernández / redaccion@ahora.cu / Mardi, 16 Novembre 2010 15:50

Il s’est caractérisé par la profondeur des débats qui, comme l’a dit le général Raul Castro Ruz, président des Conseils d’État et des Ministres, a marqué le début du Sixième Congrès et qui a, de plus, montré combien seront profitables les discussions avec tout le peuple cubain.

 

Le Président cubain souligne que la participation massive des Cubains est essentielle pour le plein succès du Congrès du PCC


Y faisant allusion, Raul a commenté que la diversité est fondamentale, que la vie s’enrichie lorsqu’il y a des avis différents, et que c’est une maxime qui est valable à l’intérieur du parti. C’est la raison pour laquelle la participation massive sera un élément capital pour garantir le succès du Congrès qui se célébrera en avril 2011.

Il a également déclaré, à un autre moment du séminaire, que tout se décidera en fonction des explications qui seront données. Il ne s’agit pas de convaincre les personnes que le projet de lignes directrices est bon, mais d’en expliquer tous les points un par un et de prendre soigneusement note de toutes les opinions car, en fin de compte, c’est le peuple qui va décider.

Raul a demandé aux dirigeants et aux spécialistes de se préparer en fonction des particularités de chaque territoire afin de pouvoir conduire les débats avec des arguments convaincants, raison pour laquelle il était important de demander aux membres des différents groupes de travail qui forment la Commission de Politique Économique quels sont les thèmes qui pourraient être les plus difficiles à expliquer à la population.

Les sessions du séminaire ont été d’une si grande utilité qu’il a proposé d’en réaliser un second ces prochains jours afin d’y faire participer un plus grand nombre de camarades et de renforcer ainsi la participation des délégués en tenant compte de la structure de chaque province.

Il ne s’agit pas de nous convertir tous en économistes, a-t-il dit, mais, pour que le Parti puisse exercer la fonction de contrôle qui lui correspond, il faut que nous ayons tous une série de connaissances sur la question. Pour pouvoir observer comment se déroulent les réunions, il faut se préparer, et pour cela, il est fondamental que les Écoles du parti restructurent leurs programmes d’étude.

L’Association Nationale d’Économistes et de Comptables cubaine (ANEC) doit jouer un rôle plus important. Il en est de même pour les avocats qui doivent mieux jouer leur rôle de conseillers. De nombreuses erreurs se commettent par ignorance des règles établies. Des législations adoptées sur certaines questions disparaissent au fond des tiroirs. Il faut que nous prenions l’habitude de nous laisser régir par les documents légaux, a commenté Raul.

Au sujet des mesures prises pour répondre aux problèmes qui incident sur l’économie cubaine, et qui seront au centre des débats du sixième Congrès, le deuxième secrétaire du parti a affirmé qu’il n’y a pas d’autre alternative que de les appliquer. Il a enfin clairement affirmé que les idées de Fidel sont présentes dans chacune des lignes directrices proposées.

Tiré de l'AIN

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 00:05

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La Havane, 15 novembre, (RHC).- Le Président cubain, Raul Castro a déclaré que la participation massive des Cubains est un élément essentiel pour assurer le plein succès du 6è Congrès du Parti communiste de Cuba, prévu en avril 2011.

Le quotidien Granma, organe du Parti publie, dans son édition de ce lundi, un résumé du premier séminaire sur le projet des grandes lignes de la politique économique et sociale qui seront débattues au congrès.

Granma souligne que le séminaire a abordé entre autres la politique agro industrielle, énergétique, l’utilisation de l’eau ainsi que le programme de réparation des réseaux, aqueducs et égouts qui permettra une économie de cette ressource primordiale. D’autres sujets débattus ont été le tourisme, les transports, les constructions, le logement et le commerce.

Granma précise que le dernier jour, le séminaire a centré ses travaux sur la mise à jour des changements qui seront introduits dans le système d’impôts et dans la santé publique.

Le Président Raul Castro a qualifié les débats du séminaire d’éclaircissants. “La diversité est fondamentale, la vie s’enrichit lorsqu’il y a des points de vue divergents”- a t-il précisé avant de conclure que le séminaire est le premier pas du 6è congrès. Chacun des débats qui auront lieu à partir de ce moment, devra contribuer au succès du processus de remise à jour de notre modèle économique.

 

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 08:37

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Aurelio Alonso

Sociologue Cubain

 

 

Leyde Rodriguez Hernández - Rebelión

 

La réalité cubaine est généralement passée sous silence, déformée, ou mal interprétée en France. C'est ainsi depuis des dizaines d'années, et il paraît très difficile actuellement de prévoir un changement de comportement des grands médias français, puisqu'il semblerait malheureusement que la conjoncture internationale et la situation politique générale ne sont pas acceptées sur le Vieux Continent. On pourrait trouver à cela des explications simples dans le fait que l'île est mise à l'écart et méconnue, presque toujours pour des raisons politiques et d'incompréhensibles motivations d'ordre idéologique.

 

Etant donné ce contexte complexe, je vais me référer dans cette note à un cas concret dont je suis sûr qu'il n'est pas le pire parmi les exemples de déformation médiatique, mais c'est celui que j'ai envie d'illustrer comme un acte d'insurrection par la parole. Ces jours derniers, sous la signature de la Française Jeanette Habel, j'ai lu un article étonnamment intitué "Changement de cap à Cuba ?", publié par le mensuel prestigieux "Le Monde Diplomatique" d'octobre 2010, dans lequel l'accent était mis sur des critères qui outrepassent ou excluent le contenu réel des mesures actuelles et les transformations dans l'île pour actualiser le système économique et social cubains.

 

De mon point de vue, il est malencontreux, et c'est aussi faire preuve d'ignorance, que d'interpréter [les faits] et de répéter comme une rengaine qu'à Cuba il y aura des licenciements massifs de milliers de travailleurs sans prendre en compte au minimum qu'en maintes occasions le gouvernement cubain et ses organisations politiques et syndicales ont répété que le système social socialistes - ses lois - n'avait pas l'intention de laisser à l'abandon les travailleurs rendus disponibles par les changements et ajustements qui s'opèrent dans l'économie cubaine, dans la perspective d'un perfectionnement de la gestion économique et de ses résultats en terme de productivité.

 

Dans l'article mentionné, il ressort une approche intransigeante de ce processus par le cadre du socialisme à Cuba, et son auteur n'a rien fait de plus qu'exposer une vision superficielle de l'évolution socio-économique cubaine qui nie qu'elle passe par le débat populaire et par la participation active des citoyens cubains et de leurs organisations de masse.

 

J'ai l'impression qu'en France - et dans n'importe quel autre pays - on peut écrire depuis ce qui est académique (sans en sous-estimer les cours ni les institutions qui les administrent) sans la construction d'un cadre, plus que des hypothèses, des choses fausses concernant les supposées tendances politiques d'une société, ou le rapport de forces à l'intérieur d'un gouvernement ou de ses organisations politiques. Normalement, l'analyse objective de processus ou phénomènes nouveaux demande du temps, ainsi que l'étude de nombreuses sources qui n'apparaissent pas dans cet article écrit visiblement à la volée, ce qui donne comme résultat principal l'addition des fantasmes et de la vision de cet auteur sur le présent et le futur de Cuba.

 

Il est de notoriété publique qu'il y a dans de nombreuses parties du monde des intellectuels et des journalistes prestigieux qui font un travail de politologie systématique sur l'île, sans faire de concessions à la dignité académique et à la rigueur intellectuelle. Par contraste, la lecture de l'article "Changement de cap à Cuba ?" dans le Monde Diplomatique, met en évidence que l'auteur n'a pas eu recours - intentionnellement - aux meilleures sources, et on peut identifier dès lors de nombreux Cubains rejetés, frustrés, ou en opposition au processus cubain, qui ne réussissent pas pleinement dans le contexte réel de ce qui se passe à Cuba.

 

C'est pourquoi je préfère mettre en lumière les idées d'Aurelio Alonso, sociologue Cubain à la pensée profonde, qu'il a exprimées à la "Cátedra de los libertadores" de la Maison Nationale du Bicentetaire, le 4 Août 2010, et qui ne sous-estime pas les potentialités des Cubains pour affronter l'étape présente de transformations. Alonso esquisse: "Actuellement, il y a plus d'économistes que jamais, plus de sociologues que jamais, plus d'idées que jamais, plus de données que jamais et un niveau de propositions, une panoplie de propositions et de réflexions sur les insuffisances, les moyens et les perspectives de l'économie cubaine, plus variés et de plus grande valeur qu'il n'y en eut dans toute l'Histoire. C'est dire qu'il y a un capital intellectuel qui est une espérance très forte pour les transformations qu'il est nécessaire d'entreprendre (...)".

 

C'est de cette force intellectuelle de Cuba que l'auteur aurait pu retirer la confiance et la possibilité de trouver des témoignages d'intellectuels ou d'étudiants plus dignes de crédit. Dans l'article, l'enquêtrice mentionne le journaliste et écrivain connu Leonardo Padura, mais je le choisis pour souligner maintenant ses arguments depuis un autre angle, d'un point de vue positif, quand il nous prévient dans son article "Utopies perdues, Utopies de rêve" publié par l'agence de presse IPS, que "Cuba est non seulement une réalité complexe, hautement politisée, mais aussi unique et, malgré cela, souvent considérée à partir de positions simplistes de condamnation ou d'éloge, sans les nuances qui lui confèrent sa densité vraie, et que personne ne comprend mieux que nous qui vivons là.". Tous ceux qui écrivent sur Cuba en Europe devraient considérer ces mots de Padura comme un avertissement, comme une proposition raisonnable.

 

Pourtant, je reconnais qu'à certains moments du texte, Habel nous fournit des versions équilibrées, mais les mêmes sont déviées par la finalité d'emblée destructrice de l'image de Cuba, qui trouve son apogée à chaque paragraphe pour porter au sommet cet objectif sacro-saint d'un essai enfermé dans la prétendue agonie du "modèle économique et social cubain". Tout ceci va avec un défaut de rigueur complice dans les citations - de supposés publications et auteurs - qui contredisent de toute évidence un niveau universitaire et scientifique auxquels sont faits de la publicité.

 

Enfin, durant le parcours de cet article nous sommes tombés sur un aspect machiavélique caractérisé par un mélange de phrases en trompe-l'oeil chargées de mensonges, de pures vérités et de mélanges qui, dans le contexte d'une supposée logique du discours, aboutissent toujours à la désorientation du lecteur sur la réalité et la véritable nature des problèmes et des changements à Cuba. Les perspectives et l'effort intellectuel de l'auteur sont concentrés davantage sur la rupture que sur la continuité du processus, parce que cela a toujours été le but de son oeuvre.

 

La structure du texte est une invitation au doute, à la déception et au désespoir quant au processus révolutionnaire cubain. Plus que de faire réfléchir, l'essayiste entraîne le lecteur à travers un tunnel sombre où est attendue l'inévitable déroute de la Révolution Cubaine, où on est obligé d'accomplir la tâche difficile de transcrire une dissertation compliquée qui, venant d'une cubanologue incontestable - assurent les médias français - se présente comme une sorte de vérité révélée sur les évènements quotidiens de l'île.

 

C'est dans la promotion d'une logique de pensée selon laquelle il n'y a pas d'autre alternative possible que l'inexorable dissolution d'une expérience atteinte par les changements de la géopolitique globale que se trouve finalement la raison de la publication de cet article. Mais ce genre de discours n'est pas étranger à Habel, puisque ce scénario a fait partie du contenu des thèses centrales de son travail de politologue sur la question cubaine, donc, inévitablement, ses théories sont apparentées au fatalisme sous-jacent de sa pensée politique concernant le caractère peu viable de l'idéal socialiste dans un petit pays. Là est la genèse du découragement induit par ses prophéties malencontreuses, dont nous savons qu'elles se sont toujours transformées en échec et mat des probabilités concernant Cuba.

 

J'ai l'impression à la lecture de Janette Habel d'entendre le même son que celui des cercles obscurs dans le strident concert des grands médias européens. Oui, ceux qui appuient l'apocalypse de la Révolution Cubaine. J'ai encore en moi l'espoir qu'un jour toute l'information de la grande presse ne se résume pas en France au style miamesque d'un ou plusieurs New Herald de Paris;

 

Traduction : Alma CSL

 

Source : http://www.rebelion.org/noticia.php?id=116611

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 10:33

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Proyecto de Lineamientos de la política económica y social del PCC en PDF (250 Kb)

La Havane, 11 novembre, (RHC)- Le Président cubain, Raul Castro, Second Secrétaire du Parti Communiste de Cuba a assisté à la première journée de travail du séminaire national sur le Projet des Grandes Lignes de la Politique Economique et Sociale de cette organisation politique et de la Révolution.

523 dirigeants et spécialistes de tout Cuba qui dirigeront le processus de débat massif de ce document, prennent part au séminaire.

Raul Castro a insisté sur l’importance du travail que les participants réaliseront dans les prochaines semaines pour former le reste du personnel qui dirigera, à leurs côtés l’explication et l’analyse du projet au sein des cellules du Parti, dans les entreprises et dans toutes les communautés.

Au cours de la rencontre, qui se tient à l’Ecole Supérieure du Parti « Ñico López », Marino Murillo, Vice-président du Conseil des ministres a fait une évaluation de l’état actuel de l’économie cubaine et il s’est étendu sur le contenu des Grandes Lignes.

Des membres du Bureau Politique et du Secrétariat du comité Central du Parti Communiste de Cuba, des Vice-présidents du Conseil d’État et des ministres ainsi que des dirigeants du PC, de l’UJC, l’Union des Jeunes Communistes, des organisations populaires ainsi que des responsables du ministère de l’intérieur et du ministère des Forces Armées Révolutionnaire prennent part également à ce séminaire qui prendra fin samedi.

Des professeurs du réseau d’Ecoles du Parti dans tout Cuba, des membres de l’Association Nationale des Économistes et des Comptables de Cuba ainsi que des journalistes y participent également.

 

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 10:30

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11 novembre (RHC) – Ricardo Alarcón, Président de l’Assemblée nationale de Cuba a mis l’accent sur l’importance du 6e Congrès du Parti Communiste de Cuba qui se tiendra en avril 2011. Il a indiqué :
“Ce sera un congrès de tous les membres du Parti Communiste et du peuple tout entier. Comme la expliqué le camarade Raul Castro un processus de diffusion, de connaissance et d’étude commence maintenant. Pendant plusieurs mois, nous tous , Cubains, nous analyserons le Projet des Grandes Lignes de la Politique Economique et Sociale. Nous donnerons notre avis, nous ferons des propositions et des suggestions, que nous soyons membres du Parti Communiste ou pas. Le point culminant de ce processus sera la tenue du Congrès en avril qui coïncidera avec le 50 anniversaire de la première grande défaite militaire de l’impérialisme en Amérique Latine dans la Baie des Cochons. Cette convocation va ouvrir la voie à une large participation de tous les Cubains à ce qui est le plus important : l’organisation des efforts collectifs dans la bataille économique pour sauver, mettre à jour, perfectionner notre projet social pour préserver les idéaux essentiels du socialisme ».

Ricardo Alarcon a également relevé que ce processus de consultation populaire sur le Projet des Grandes Lignes de la Politique Economique et Sociale de Cuba est un débat de tous les Cubains. Il a précisé :

“Tous les Cubains sont appelés à y participer, les habitants des quartiers, les travailleurs des administrations et des entreprises dans tout Cuba. Une impression de centaines de milliers d’exemplaires du projet sous forme de brochure a été faite afin que tout le monde puisse le lire, l’étudier, se prononcer. C’est un grand débat qui aboutira à la tenue du Congrès. La bataille économique exige des connaissances, une culture économique, une maîtrise des sujets et des problèmes de l’économie cubaine et de l’économie mondiale dans laquelle nous nous insérons. C’est un processus qui exige de l’organisation, de la conscience. Je suis sûr du fait que ce processus va contribuer non seulement au perfectionnement du document qu’adoptera le Congrès, mais qu’il va contribuer aussi au renforcement des efforts collectifs à la recherche de l’efficacité ».

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 00:25

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Proyecto de Lineamientos de la política económica y social del PCC en PDF (250 Kb)

La Havane, 10 novembre (AIN-RHC) – La population cubaine accueille avec enthousiasme le processus préparatoire du 6e Congrès du Parti Communiste de Cuba, en avril 2011.

En effet, c’est ce que démontre l’achat massif des brochures contenant le projet des Grandes Lignes de la Politique Economique et Sociale que doit adopter le Congrès.

Le quotidien cubain Granma a fait savoir que mardi matin, les kiosques à journaux avaient déjà vendu plus de 100 000 exemplaires de ce document qui sera débattu par la population tout entière.

Le Président Raul Castro, qui est également Second Secrétaire du Parti Communiste de Cuba a fait savoir lundi que le Bureau Politique avait décidé de convoquer le 6e Congrès pour la seconde quinzaine d’avril 2011 avec un thème unique : la bataille économique du pays.

Granma publie les opinions qu’ont plusieurs personnes des différentes couches de la société cubaine, sur les préparatifs du Congrès, parmi lesquelles figure le Docteur es sciences José Rubiera, chef du centre de Pronostics de l’Institut Cubain de Météorologie.

José Rubiera a indiqué: “Le peuple cubain sera de nouveau le grand protagoniste car il donnera son avis et fera des suggestions en participant de façon active à la recherche de solutions aux problèmes. C’est une nouvelle preuve de notre véritable démocratie socialiste ».

Pour sa part, Làzaro Hernandez, membre de la Coopérative de Production Agricole « Antonio Maceo », de la région de Bejucal à une quarantaine de kilomètres de La Havane, a mis l’accent sur l’occasion qui se présente pour discuter de quelques chose qui le touche de près, à savoir, la politique agro-industrielle car –a-t-il précisé « Il reste beaucoup à faire en matière d’exploitation des terres, de production et d’utilisation rationnelle des ressources ».

Source : RHC

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 14:39

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De profonds changements économiques sont en cours à Cuba, y compris dans le secteur de la santé. Le gouvernement a appelé à une utilisation parcimonieuse des ressources dans les hôpitaux. Immédiatement, de nombreux médias occidentaux ont prétendu que l'éducation et la santé allaient connaitre un processus de privatisation. Ils reproduisaient un article publié par le quotidien argentin de droite «Clarín », déformant une déclaration de la ministre cubaine des
affaires sociales.
Pour Cuba, l'éducation et la santé restent prioritaires et publiques, le gouvernement est convaincu de leur importance et maintient ces acquis de la révolution par tous les moyens.C’est un exemple de la guerre de désinformation que livrent les États-Unis à Cuba, en complément à l'agression économique qu'ils pratiquent sans succès depuis plus de 50 ans. Les médias européens n’évoquent pas les effets sournois et concrets du blocus. C'est particulièrement le cas pour les mesures les plus absurdes: un internaute cubain ne peut accéder à de nombreux sites. Non pas, parce que le gouvernement cubain l'interdirait, comme le prétendait il y a quelques jours Tomás Bilbao, ancien haut fonctionnaire du régime de G.W. Bush, à propos de Twitter. Mais bien parce que, comme l'a du admettre ce réseau1, ces sites interdisent l'accès à des requêtes provenant d'une adresse à Cuba.
La littérature médicale, dont une grande partie est éditée aux États-Unis ou par des éditeurs y ayant de gros intérêts commerciaux, est quasiment inaccessible. Quant aux sites internet correspondants, beaucoup refusent la connexion depuis Cuba. A croire que la lecture d'articles médicaux par des médecins cubains affecterait les intérêts et la sécurité des États-Unis... La désinformation est systématique et traverse également les médias européens comme un rouleau compresseur. C'est aussi cela, la guerre des États-Unis contre son petit voisin.
Un exemple illustratif concerne Haïti: au moment du tremblement de terre, plus de 400 médecins cubains étaient sur place et ont pu apporter une aide immédiate. A ce jour, plus de 1500 cubains ont soigné plus de 227 000 victimes.
Pour comparaison: les EU ont dépêché 10 000 militaires et 500 professionnels médicaux qui se sont occupé d'environ 800 blessés! Pourtant, l’aide de Cuba n’est pas mentionnée dans la presse!
Les échanges scientifiques représentent un besoin essentiel pour les médecins de toute spécialité. Nous sommes très engagés dans ce domaine: des spécialistes cubains sont invités pour des formations complémentaires en Europe.
En octobre, deux pédiatres se sont rendus à Cuba pour partager leur expérience avec les pédiatres de La Havane.
Divers chirurgiens se rendent régulièrement en province : leur objectif est d’enseigner des techniques d’intervention plus efficientes et moins invasives; il s'agit d'un moyen d'optimiser les ressources hospitalières. Et de rompre, en même temps, le siège médiatique.
Nous poursuivrons notre soutien au système de santé cubain, plus que jamais!

Dr. med. Martin Herrmann, co-président

medicuba-copie-1.gifmediCuba-Suisse

case postale 1774, 8031 Zurich

Tél. ++41 44 271 08 15

info@medicuba.ch

 

antenne romande:

14, rue Mauverney, 1196 Gland

Tél. 022 362 69 88 begin_of_the_skype_highlighting              022 362 69 88      end_of_the_skype_highlighting ou 079 509 3110 begin_of_the_skype_highlighting              079 509 3110      end_of_the_skype_highlighting

Fax 022 362 69 89

CCP 80-51397-3

medicuba-suisse-romandie@bluewin.ch

www.medicuba.ch

deutsch auf der Rückseite

 

Novembre 2010


1http://www.rebelion.org/noticia.php?id=114489

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 00:39

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• L’Accord intégral de coopération entre Cuba et le
Venezuela a constitué à ce jour la base fondamentale de la consolidation de nos liens
• Discours prononcé par le général d’armée Raul Castro, deuxième secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba et président du Conseil d’Etat et du Conseil des ministres, lors de la cérémonie qui a marqué le 10e anniversaire de l’Accord intégral de coopération Cuba-Venezuela, au Palais des Congrès, le 8 novembre 2010, « Année 52 de la Révolution »

Cher camarade Hugo Chavez Frias, président de la République bolivarienne du Venezuela,

Camarades ministres et membres de la délégation vénézuélienne,

Camarades,

Dix années se sont écoulées depuis la signature, à Caracas, le 30 octobre 2000, par le commandant Hugo Chavez Frias et le commandant en chef Fidel Castro Ruz, de l’Accord intégral de coopération entre Cuba et le Venezuela. Tout ce que nous avons réalisé depuis s’avère aujourd’hui de la plus haute importance.

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Raul remet à Chavez le deuxième exemplaire du projet « Grandes Lignes de la politique économique et sociale du Parti ». Le premier a été remis au camarade Fidel.
Photo: Sergio Abel Reyes

Cet accord a constitué jusqu’ici la base fondamentale de la consolidation de nos liens. Son exécution nous a permis de mettre en œuvre des actions dont les deux peuples ont bénéficié, au plan économique et social.

Parmi les principaux secteurs de ces programmes figurent la santé, l’éducation, la culture, les sports, l’agriculture, les économies d’énergie, les mines, l’informatique, les télécommunications et la formation intégrale de cadres, entre autres de moindre envergure.

Les Missions sociales que nous avons conduites ensemble au Venezuela – Vie de quartier (Barrio Adentro) I et II, les Missions éducatives, Vie de quartier sportive, Mission Miracle, Mission Vie rurale et le Programme de formation de médecins – ont considérablement amélioré les conditions de vie de la population vénézuélienne, essentiellement les couches les plus démunies. Elles ont dépassé les limites de l’échange bilatéral et s’étendent aux pays de l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique, en vertu de nos principes internationalistes.

Nous œuvrons à l’Union économique entre Cuba et le Venezuela dans le cadre de relations d’un nouveau type qui favorisent l’organisation, la rationalité et l’efficience des projets conjoints et qui constituent, en même temps, un pas en avant vers la complémentarité économique véritable, basée sur l’utilisation optimale des infrastructures, des connaissances et des ressources existantes dans les deux pays et, plus encore, sur la volonté politique de nos gouvernements.

Ces relations se sont renforcées au fil des dix dernières années et continueront de le faire, en vertu de la planification stratégique des deux pays contenue dans le Plan quinquennal de Cuba et le Plan triennal du Venezuela, comme cela se trouve spécifié dans les documents approuvés au premier Sommet présidentiel Cuba-Venezuela qui s’est tenu le 26 Juillet dernier, à Villa Clara, toujours sur la base des principes suivants, que je cite :

La solidarité, comprise comme l’engagement à se soutenir mutuellement et à réaliser des efforts communs en vue de parvenir au développement durable et de couvrir les besoins les plus urgents, dans la mesure des possibilités et des responsabilités partagées.

La coopération, en tant que volonté de consolider les relations orientées vers la mise en œuvre de projets conjoints et d’alliances stratégiques bénéficiant aux deux parties.

La complémentarité, comprise comme l’engagement à identifier et à mettre en œuvre des projets communs permettant l’intégration et les synergies des capacités, selon le potentiel et les intérêts communs.

La réciprocité, ou obligation de baser nos relations sur des échanges justes de prestations, compte tenu des différences et des principes d’équité et de bonne foi.

La durabilité, conçue comme l’engagement à identifier et à mettre en œuvre des projets de coopération s’inscrivant dans une perspective de développement durable, du point de vue économique, social et environnemental.

La souveraineté technologique, qui est le droit de chaque Etat à décider de son propre développement technologique à partir de l’utilisation optimale de son potentiel, en vue de modifier les patrons actuels de dépendance et de consumérisme et de satisfaire les besoins des marchés nationaux de l’ALBA et des pays de la région.

L’union économique, comprise comme la construction d’un espace constitué dans le contexte politique des pays de l’ALBA, qui doit se présenter comme un bloc face à des entités d’autres pays ou espaces de même nature. Fin de citation.

Les efforts consentis jusqu’à maintenant nous obligent à continuer de travailler ensemble pour avancer le plus possible dans les projets con joints. Nous devons le planifier à moyen et à long terme, avec une vision stratégique commune à nos deux pays et en vue d’étendre cette coopération à nos frères de l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique et du reste de la région.

C’est dans cette optique que nous avons décidé de reconduire notre Accord intégral de coopération Cuba-Venezuela pour les dix prochaines années.

Le cheminement de nos relations n’a pas été dépourvu d’obstacles. Ensemble, nous avons imposé notre volonté à l’adversité, résultant le plus souvent de facteurs extérieurs qui s’opposent à l’avancée de nos projets révolutionnaires et émancipateurs.

 

Rien n’a pu paralyser le développement de ces relations, pas même les difficultés financières, parce que nos actions reposent sur la collaboration et la solidarité, dans l’intérêt des deux parties. Il nous faut maintenant assurer le suivi rigoureux et l’évaluation objective de la mise en œuvre de nos accords, pour garantir le développement des deux économies et la satisfaction des besoins propres au développement social.

Voilà ce que réclament nos peuples et qui constitue le pilier du renforcement des relations fraternelles entre les deux nations.

En Amérique latine, l’affrontement s’intensifie entre les secteurs réactionnaires et conservateurs, qui défendent un modèle politique et économique dépendant et exploiteur, tandis qu’au pôle opposé avancent les forces révolutionnaires et progressistes engagées envers la justice, l’équité et l’indépendance des peuples de la région.

Dans ce contexte, les relations entre Cuba et le Venezuela constituent le meilleur exemple de ce que doivent être les relations entre les peuples, d’autant plus qu’elles s’instaurent dans la conjoncture internationale difficile que nous connaissons, qui se caractérise par l’instabilité politique et économique et où se joignent à la crise économique mondiale, énergétique, alimentaire et environnementale, de graves menaces pesant sur la paix mondiale.

Camarade Chavez,

Camarades,

Nous nous sommes réunis cet après-midi non seulement pour célébrer le 10e anniversaire de l’Accord intégral de coopération entre Cuba et le Venezuela ainsi que sa reconduite pour les dix prochaines années, mais aussi pour inviter le Parti et tout notre peuple à participer aux préparatifs du 6e Congrès des communistes cubains.

Le Bureau politique a décidé de convoquer le 6e Congrès pour la deuxième quinzaine du mois d’avril, à l’occasion du 50e anniversaire de la victoire de Playa Giron et de la proclamation du caractère socialiste de la Révolution cubaine.

Le 1er août dernier, dans le cadre de la 5e session de l’Assemblée nationale du Pouvoir populaire, j’ai expliqué que nous avancions dans les travaux confiés à la commission de politique économique du Congrès et que les groupes de travail constitués se réunissaient sans interruption pour élaborer les propositions qui seront analysées avec les militants et la population dans son ensemble.

Pour toutes ces raisons, le 6e Congrès concentrera son attention sur la solution des problèmes économiques et sur les décisions fondamentales à prendre pour moderniser le modèle économique cubain. Il adoptera les Grandes Lignes de la politique économique et sociale du Parti et de la Révolution.

Le Congrès, ce n’est pas seulement la réunion de ceux qui seront élus délégués, mais aussi le processus préalable de discussion, par les militants et toute la population, des lignes de travail et des décisions qui y seront adoptées.

Dans ce même discours à l’Assemblée nationale, j’indiquais aussi que « l’unité entre les révolutionnaires, la direction de la Révolution et la majorité du peuple est notre arme stratégique la plus importante, celle qui nous a permis d’arriver jusqu’ici et de continuer, à l’avenir, à perfectionner le socialisme » et que « l’unité est fomentée et récoltée dans la plus large démocratie socialiste et dans la discussion ouverte, avec le peuple, de tous les problèmes, si sensibles soient-ils ».

Pour cette raison, le 6e Congrès sera celui de tous les militants et de tout le peuple, qui participeront activement à l’adoption des décisions fondamentales de la Révolution.

Le projet intitulé « Grandes Lignes de la politique économique et sociale » sera publié demain. Un séminaire national réunissant les dirigeants et les spécialistes qui guideront ensuite tout le processus de discussion massive du document commencera immédiatement. Ultérieurement, du 15 au 30 novembre, les séminaires se tiendront dans toutes les communes pour préparer les cadres qui participeront aux réunions avec les cellules du Parti, les travailleurs et toutes les communautés. Ce processus qui implique la participation des masses se déroulera sur trois mois, du 1er décembre au 28 février. A partir de cette date, nous disposerons d’une réserve de temps, jusqu’au 11 mars. Simultanément, les opinions et les suggestions seront recueillies et analysées, car il en sera tenu compte dans le document qu’adoptera le Congrès.

Cette séance plénière réunit le Conseil d’Etat et le Conseil des ministres, la présidence de l’Assemblée nationale, le Bureau politique, ainsi que des centaines de cadres et d’économistes de toutes les provinces du pays qui s’apprêtent à contribuer à l’explication, auprès des militants et du peuple, du contenu des décisions proposées, mais aussi à entendre et à transmettre leurs opinions.

Comme je l’ai dit le 4 avril dernier au Congrès de l’Union des jeunesses communistes, « la bataille économique constitue aujourd’hui, plus que jamais, la tâche principale et le centre du travail idéologique des cadres, parce que d’elle dépendent la durabilité et la préservation de notre système social ». Pour cette raison, ceci constitue le seul et unique thème du Congrès. Plus tard, mais dans le courant de la même année, aura lieu la Première Conférence nationale du Parti, qui aura pour mission de traiter des problèmes internes de l’organisation qui n’auront pas été analysés pendant le Congrès et qui requièrent des mesures de perfectionnement, que nous définirons à la lumière de ces cinquante années.

Je précise que nous avions prévu de commencer par la Conférence et de tenir le Congrès plus tard, mais compte tenu du fait que la préparation des documents est très avancée, nous avons décidé d’inverser cet ordre et de commencer par le Congrès qui abordera le thème fondamental, celui de l’économie.

Cher Chavez,

Camarades de la délégation vénézuélienne,

Camarades,

Une des Grandes Lignes du projet indique précisément ce qui suit : « Donner la priorité à la participation à l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (ALBA) et travailler rapidement et intensément à la coordination, à la coopération et à la complémentarité économique à court, moyen et long terme, affin d’atteindre et de pousser plus avant les objectifs économiques, sociaux et politiques qui sont les siens. »

Cette idée est étroitement liée aux thèmes abordés pendant la journée d’aujourd’hui par les ministres des deux gouvernements.

Nous avons déjà remis le premier exemplaire du projet Grandes Lignes au commandant en chef de la Révolution cubaine, le camarade Fidel Castro Ruz.

C’est à toi, camarade Hugo Chavez Frias, commandant de la Révolution bolivarienne et président de cette République sœur, que je remets le deuxième exemplaire.

Vive notre Amérique !

Vive le socialisme !

 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 08:33

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8 Novembre

Le général d'armée Raul Castro Ruz, deuxième secrétaire du Comité central du PCC et Président des Conseils d'Etat et de ministres, a annoncé aujourd'hui lors de la cérémonie du dixième anniversaire de la signature de l'Accord général de coopération entre Cuba et le Venezuela, que le bureau politique du PCC a décidé de tenir son 6 ème congrès dans la seconde quinzaine du mois d'avril 2011, à l'occasion du 50e anniversaire de la victoire de Playa Girón.

Le thème principal sera l'analyse de l'actualisation du modèle économique et social du pays.

Un grand débat populaire sera initié qui se déroulera du 1 Décembre 2010 au 28 Février 2011 avec comme base de discussion, un document sur les orientations politiques et sociales du pays, qui sera mis en vente dans tous les kiosques au prix d' 1 peso.


Raúl a également annoncé que se tiendra, à la fin 2011, la première Conférence Nationale du Parti , qui analysera des thèmes internes à l'organisation ainsi que d'autres questions d'importance nationale.

 

Source : Cubadebate

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