Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Cuba Si Lorraine
  • : blog des amis de Cuba en Lorraine
  • Contact

19610419-CubaVictoryPlayaGiron-crop.jpg
-
cooltext517277295.png
MILCIA---copie-1.jpg
cooltext517276476.png
cooltext517276264.pngcooltext517275991.png
cooltext517276810.png
             -
colonne-gauche-copie-1.jpg
.

logo-gauche.jpg
-
Capture-freeforfive.JPG
cuba-debate.jpg 1er-mai-cuba
Pour en savoir plus
Cliquez sur l'image !

Recherche

nos amis + liens utiles

  .

titre_891504.jpg
.
.
.
RHC-1.JPG
Cubavision-TV.jpg
.
.
cuba_linda.jpg
. 

Archives

cooltext518801341.png
cooltext518803453.gif

Catégories

 

Sans-titre-1-copie-3.jpg

neruda-fidel.jpg

  logo-bas-ok.jpg

 

23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 23:30

By Lourdes Pichs  / Thursday, 23 April 2009  /  redaccion@ahora.cu
La deuxième phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite à Holguín démarrera le 24 avril, par l'administration du vaccin à plus de 49.625 enfants de cette province orientale.

Une deuxième dose sera fournie à quelque 36.823 enfants allant de 30 jours à trois ans d'age, qui ont reçu le vaccin lors de la première phase de la campagne qui a eu lieu du 27 Février au 5 Mars.

Les enfants de ayant entre11 mois et 29 jours à 9 ans recevront un vaccin de réactivation.

La docteur Dr. Clara Fernandez, Chef du programme de vaccination dans la province, a expliqué que la vaccination sera effectuée dans les polycliniques de la communauté.


La Dr. Fernandez recommande de ne pas vacciner des enfants ayant de la fièvre, la diarrhée, des vomissements, tout comme ceux qui reçoivent un traitement médical avec des médicaments immunosuppresseurs, elle conseille aussi d'attendre 30 minutes avant et après l'administration du vaccin avant de prendre de la nourriture ou de l'eau.


Les campagnes de vaccination contre la poliomyélite ont commencé en 1962 à Cuba, où le programme de vaccination comprend la protection des enfants contre 13 maladies grâce à l'administration de vaccins contre 11, dont 8 ont été fabriquées à Cuba.


En même temps que cette deuxième étape de la 48e campagne contre la polio, la Semaine de la vaccination dans les Amériques aura lieu, lorsque Cuba mettra en œuvre la récupération des projets pour accroître la couverture de la prévention contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos (DPT).
Partager cet article
Repost0
22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 23:11

 
 

By Rédaction AHORA  / Wednesday, 22 April 2009  /  redaccion@ahora.cu

Le film cubain Los Dioses Rotos, d´Ernesto Daranas, a remporté ce dimanche le Grand Prix Spécial du Public. L'annonce a été faite lors de la clôture du VIIème Festival International du Cinéma Pauvre de Gibara, province d'Holguín.

Le film, interprété par Carlos Ever Fonseca, Silvia Águila, Héctor Noas et Annia Bu, a attiré chaque journée de nombreux cinéphile, dans le cinéma Jibá et dans la salle de vidéo de cette ville côtière nord orientale de Cuba.

Los Dioses Rotos conte les expériences d'un professeur d'université décidée d'enquêter sur le célèbre proxénète Alberto Yarini, assassiné par ses rivaux français au début du XXème siècle.

Le Prix Spécial de la Presse Étrangère est revenu au court-métrage Brainstorm, du cubain Eduardo del Llano, alors que celui du long-métrage a été attribué à El camino, d´Ishtar Yasin, du Costa Rica.

La proposition Bilal, de Sourav Sarandi, de l´Inde, a reçu le Prix Spécial de Documentaires, Œuvres Expérimentales et Art Vidéo.

Les autres lauréats du VIIème Festival International du Cinéma Pauvre sont : 2001: Mientras Kubrik estaba en el espacio, meilleur scénario inédit, et Café com leite, du brésilien Daniel Ribeiro, meilleur court-métrage, d´après le jury de la presse étrangère.

Le film espagnol Querida Bamako, des réalisateurs Omer Oke et Txari Llorente, a obtenu le Grand Prix du meilleur Long-métrage de Fiction.

Dans le genre de fiction, le Prix pour la Meilleure Maquette a été octroyé à La anunciación, du réalisateur cubain Enrique Pineda Barnet, et à El súper, de Fernanda Aljaro et Felipe del Río, du Chili.

Le prix spécial du jury du meilleur court-métrage de fiction est revenu à Viaje a Bangkok, de Dionisio Pérez, et le Prix « Pobreza Zero » à Domingo, du cubain Enrique Álvarez.

Humillados y Ofendidos, des boliviens Javier Horacio Álvarez, César Brie et Pablo Brie, a obtenu le prix du Collège d´Amérique du meilleur documentaire hispano-américain.

Le film Sicarios de la capital, du réalisateur espagnol Gregorio Subersiola, est le lauréat du Prix « Pobreza Zero » du meilleur documentaire, art vidéo et œuvre expérimentale.

Le jury a aussi reconnu, pour leur pertinence sociale, leur cohésion et leur transparence dans la narration, leurs ressources expressives et leur évocation émotive, les films suivants :

El desayuno del poeta, de l'espagnol Mario Iglesias, pour ne pas oublier la présence du poète Gaspar Duarte, et son interaction avec la ville de Gibara.

AJ en La Habana, d´Ismael Perdomo Fonseca, une coproduction de Cuba, d´Espagne et du Danemark où se détache la façon originale, nouvelle et un ingénieux sens du dessin pour narrer une histoire potentiellement ennuyeuse.

Ainsi que Fuera de Liga, du cubain Ian Padrón pour « faire un portrait précis et allégorique de la passion nationale cubaine qu'est le base-ball ».

Flores de Ruanda, de l'espagnol David Muñoz a été reconnu pour approcher le public à l´angoisse d´un génocide qui attend encore un processus de paix et de justice.

Les mentions en art vidéo et oeuvres expérimentales sont revenues aux titres Los puro, d'Elín Prieto Herrera, de Cuba, pour la simplicité des recours expressifs pour montrer la discrimination depuis une perspective universelle.

Cent douze oeuvres étaient en concours dans ce rendez-vous du septième art de 2009, et pour la première fois sans la présence du réalisateur cubain Humberto Solás (1941-2008), créateur de l´événement.

Le Festival a étendu sa création au-delà le septième art, dédiant plusieurs espaces à la musique, aux arts plastiques et à la photographie.

La salle de vidéo de Gibara et le cinéma Jibá ont été les scènes principales où les habitants et les visiteurs pu profiter d'un cinéma de peu de ressources, de peu de divulgation et de peu de distribution, mais plein de talent.
Tiré de Cubarte
Partager cet article
Repost0
21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 22:33


NATIONS UNIES, le 20 avril. Cuba a rejeté aujourd'hui les tentatives d'accompagner la réforme de l'ONU par une augmentation des pouvoir du Conseil de sécurité au détriment de l'Assemblée générale. « Les sujets dont s'occupe le Conseil de sécurité sont de plus en plus nombreux et il s'empare d'affaires qui relèvent normalement de la compétence de l'Assemblée générale et d'autres organes de l'ONU », a déclaré le conseiller de la mission cubaine, Rodolfo Benitez Verson.

Cuba défend l'importance du rôle de l'Assemblée générale dans la réforme de l'ONUDans son intervention lors des négociations intergouvernementales sur la réforme du Conseil de sécurité qui se déroulent au siège principal de l'ONU à New York, Benitez a appelé à stopper la tendance actuelle qui vise à diminuer l'importance à l'Assemblée générale.

Le diplomate cubain a affirmé que cette haute instance de l'ONU a de plus en plus tendance à élargir son mandat sous le couvert des menaces pour la paix et la sécurité internationales, des sujets qui sont bien évidemment de la compétence du Conseil de sécurité.

Il faisait référence à la décision de cet organisme d'ouvrir des débats formels ou officieux sur la situation de chaque Etat membre ou sur toute affaire même si elle ne constitue pas une menace pour la paix et la sécurité internationales.

« Cuba continue tout particulièrement d'être préoccupée par l'établissement de normes et de définitions de la part du Conseil de sécurité qui vont au-delà de ses sphères de compétence », a indiqué Benitez.

Partager cet article
Repost0
16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 00:43
Un documentaire sur le projet de réhabilitation du centre historique de La Havane.

Synopsis

Français: Le film explique comment est réalisée la rénovation du centre historique de La Havane, capitale de Cuba, l'originalité de sa conception, le financement autogéré par l'Office de l'Historien et la globalité du projet qui est à la fois urbanistique, architectural, environnemental, culturel et social. Le film présente des images du centre historique, de la vie urbaine et culturelle, des explications données par Eusebio Leal Spengler, historien de La Havane et personnage central du projet de réhabilitation. Des interviews de responsables de projets et des habitants de la vieille ville et des extraits d'une représentation d'un groupe théâtral enfantin.
Un film de Anne Delstanche avec la collaboration de Rolando Pujol et Idanis Rego.
.
Español: Se trata de un documental sobre la obra de rehabilitación de La Habana vieja. La película explica la originalidad del proyecto, el sistema de autogestión y el aspecto global de la obra que tiene aspectos tanto arquitectural,urbanístico, como social, cultural y ambiental.
El documental presenta imagenes del centro histórico, de la vida urbana y cultural incluye explicaciones de Eusebio Leal Spengler, historiador de la Ciudad de La Habana y entrevistas a responsables de proyectos y habitantes del centro histórico.
Una película de Anne Delstanche con la colaboración de Rolando Pujol e Idanis Rego.

http://habana.skynetblogs.be/
contact: utopiehabana@yahoo.fr
Partager cet article
Repost0
15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 23:47
Le festival du cinéma pauvre s'ouvre à Gibara 


Et comme j'aimerai y assister ! Il a lieu tous les deux ans, alors chiche on retient cette date sur nos agendas !


 By Rédaction AHORA  / Wednesday, 15 April 2009  /  redaccion@ahora.cu
Le festival du cinéma pauvre " Humberto Solas " a été inauguré ce lundi à Gibara, un village pêcheur de la province d'Holguin, dans l'Est de Cuba, par le défilé dans les principales rue du village, des participants.

Des réalisateurs, scénaristes, acteurs, producteurs et techniciens du cinéma du Chili, du Mexique, de l'Espagne, de la Bolivie, de l'Equateur, du Venezuela, de la Colombie, de l'Uruguay, du Brésil, du Costa Rica, des Etats-Unis et de Cuba, entre autres.

La première journée de cet événement culturel a également compris la projection du film " Un jour de novembre " du réalisateur cubain Humberto Solas, décédé l'an dernier à La Havane.

Humberto Solas, réalisateur de " Lucia " et de " Quartier Cuba " et figure emblématique du cinéma latino-américain avait créé ce festival y a cinq ans.

Presque 300 œuvres se disputent les Prix en lice dans les catégories de fiction, documentaire, œuvre expérimentale, scénario inédit et maquette. / RHC

 

 

 

 

Dans une ville du bord de mer, vous devez échapper au charme du soleil printanier et entrer dans une sombre salle de cinéma - mais non, vous n'êtes pas à Hollywood ou à Cannes. Ne vous attendez pas à trouver des dîners de galas ou des hôtels cinq étoiles. Il n'y a pas d'acteurs, directeurs, distributeurs ou promoteurs qui s'enrichissent de l'activité cinématographique. Tous les films qui sont présentés ici, à Gibara, ont été réalisés pour moins de (généralement beaucoup moins de) 300 000 dollars, et leur valeur n'est pas intrinsèque au potentiel de générer des ventes de billets ou à des recommandations publicitaires faites par une personnalité connue.

Le festival du cinéma de Gibara est dédié aux films réalisés contre des cotes apparemment énormes. Ce qui est différent cette fois, c'est que les cotes se sont retournées contre le festival lui-même.

En septembre dernier, l'ouragan Ike a frappé la côte Nord-est de Cuba et détruit plus de 70 des maisons à Gibara. Le malheur a une nouvelle fois frappé le 17 septembre lorsque Humberto Solás est décédé d'un cancer. Humberto Solás, fondateur, directeur et guide spirituel du festival avait choisi d'établir le festival non pas dans sa ville natale, La Havane, mais dans cette ville coloniale d'une beauté à vous couper le souffle où il a tourné son classique Lucia en 1968. Que pouvait donc faire Gibara, si ce n'est de continuer à assurer le spectacle ? Le 7ème Festival International Cine Pobre de Humberto Solás - le premier à porter le nom de son feu fondateur - aura lieu comme prévu, du 13 au 19 avril.

Humberto Solás, l'un des plus grands directeurs de Cuba, a atteint sa majorité dans les années 60, lorsque le « Cine Pobre » portait les promesses d'une nouvelle sorte de cinéma émergeant d'Amérique Latine - un cinéma avec des moyens limités et avec une ambition révolutionnaire apparemment sans limites. Quarante ans plus tard, il serait facile de reléguer le terme sur une étagère d'histoire de l'Art, aux côtés de l'Arte Povera d'Italie et de chaque autre mouvement des années 60 qui défièrent le statu quo. « Cine Pobre » se traduit aujourd'hui comme « cinéma à petit budget » ou, s'il faut accentuer l'affaire, « cinéma sans budget », et conjure les images des diplômés des écoles de cinéma essayant de rassembler des fonds pour leur première réalisation.

Humberto Solás est cependant resté fidèle à la vraie cause du Cine Pobre, et il a fait des émules partout où il est allé. Ses films à caractère social n'ont jamais souffert du manque d'acteurs grassement payés ou d'effets spéciaux, et lorsqu'il a lancé son festival Cine Pobre en 2003, il n'a pas considéré ce genre d'exercice comme étant le moins archaïque. Au contraire, comme il le déclare dans cette interview (une de ses dernières) avec Havana Cultura, il considérait ceci comme une nécessité.

Humberto Solás était un fervent supporter de la technologie du cinéma numérique - en 2001, il a entièrement tourné Miel para Oshun [Du miel pour Oshun] avec des caméras numériques - et il avait compris que la possibilité de réduire les coûts de réalisation des films pourrait uniquement augmenter les opportunités pour que de nouvelles voix se fassent entendre. Et Gibara est devenu un bon endroit pour les entendre.

Alors que la révolution du cinéma numérique accélère le rythme, et que l'industrie mondiale du cinéma essaye de comprendre comment s'adapter à un avenir économique en régression, le cinéma sans budget menace de devenir la règle plutôt que l'exception.

Il se peut que le mouvement Cine Pobre fût tout simplement en avance sur son temps.

 


Partager cet article
Repost0
12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 10:09


Une ancienne demeure de la Vieille Havane abrite la photothèque de Cuba

Coralia Rivero

C'EST une de ces maisons coloniales, construites au 17e siècle, qui a pris son apparence définitive au 18e. Sa plus grande valeur esthétique tient à la cohérence avec laquelle elle s'intègre à l'ensemble des façades de la Plaza Vieja, même si elle a moins de charme.

Elle ne conserve de sa construction d'origine que les deux  espaces à chacun des deux étages ; la restauration, effectuée en 1986 par le département des monuments de la Direction du patrimoine culturel et par le Bureau de l'Historien de la ville de La Havane, a sauvegardé la façade et ses trois arcs au rez-de-chaussée, et au premier étage, le balcon continu, avec de chaque côté, la disposition symétrique des fenêtres.

Dans le reste de la maison, six appartements, de style contemporain, ont été aménagés autour de son patio central qui conserve le charme des vieilles demeures coloniales. Actuellement, cette maison abrite la photothèque de Cuba, fondée en 1841, où est archivé et conservé le patrimoine photographique cubain, national et universel, d'hier et d'aujourd'hui, riche de plus de cent mille photographies.

 Elle possède une collection plutôt modeste de daguerréotypes et d"ambrotypes et autres cartes postales de photographies cubaines et étrangères.

 Elle renferme également les collections de Joaquin Blez, un important photographe de la société havanaise de la première moitié du 20e siècle, ainsi que celles d'autres photographes prestigieux, comme Constantino Arias, Alberto Korda, Osvaldo Salas, Raul Corrales et Liborio Noval, entre autres.

 La photothèque propose un centre d'information, une bibliothèque, une hémérothèque et un laboratoire où le visiteur peut développer et imprimer des photos, conseillé par un personnel compétent. Elle dispose également de deux salles pour des expositions personnelles ou collectives et au rez-de-chaussée, dans la galerie Joaquin Blez, qui présente l'œuvre de l'artiste, on trouve une boutique de photographies qui propose d'importants auteurs nationaux, des cartes postales, des catalogues et des livres d'art.

 Ce lieu très visité a pour fonction essentielle de promouvoir et de stimuler l'œuvre des artistes photographes cubains.  
Partager cet article
Repost0
9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 22:18

 



Si la princesse de Savoie Clotilde Courau déplorait amèrement, hier, que certains hôpitaux ne soient pas construits contre les séismes, d'autres personnalités se mobilisent pour qu'on bâtisse des écoles... contre les ouragans !

Décidé à encourager le travail de l'UNICEF à Cuba dans le cadre du programme "Ecole contre ouragans" initié par l'organisme, le virtuose Raul Paz, natif de la province de Pinar del Rio, va réunir une douzaine de stars françaises, espagnols et cubaines pour des concerts exceptionnels au profit de l'action de l'Unicef.

Le Cubain, qui fête cette année ses 40 ans, s'était installé en France il y a une quinzaine d'années, où il avait notamment rencontré un franc succès avec son album Mulata (2003) paru sur le label Naïve. En août 2008, ce brillant musicien (sur une formation classique exhaustive, style cubain et influences diverses créent un univers cosmopolite) choisissait de retourner sur son île natale.

Il était donc aux premières loges pour témoigner des dégâts causés par le passage de trois tempêtes tropicales d'une violence extrême, qui ont dévasté le pays et affecté 1848 établissements scolaires... Un spectacle qui a profondément bouleversé l'artiste : "Je suis maintenant installé avec ma famille à Cuba et j'ai pu constater l'ampleur du désastre causé par les deux cyclones de l'été dernier, a-t-il déclaré. Avec d'autres artistes et intellectuels cubains, nous nous sommes mobilisés pour aider l'UNICEF à la reconstruction des écoles dans les zones les plus dévastées. L'idée est d'aider directement et concrètement la population de ces régions à se remettre de cette catastrophe naturelle".

Parmi les stars qui ont rejoint l'initiative, Florent Pagny fut un des premiers à se manifester. Le Français, dont le nouvel album à paraître contiendra deux titres composés par Raul Paz, dont le premier single qui en sera très prochainement extrait (C'est comme ça) n'a pas tergiversé, comme il l'explique : "J'ai tout de suite été touché par l'histoire de Raul et par son engagement, et je n'ai pas hésité une seconde lorsqu'il m'a demandé de l'aider". S'ils sont pour l'heure une douzaine (dont Agnès Jaoui, Buika, X Alfonso ou encore Hernan Lopez-Nussa) à avoir répondu à l'appel, leur mobilisation risque de faire boule de neige.

Quatre concerts exceptionnels donnés au profit du programme Ecoles contre Ouragans sont d'ores et déjà prévus : le 27 mai au Grand rex de Paris, le 29 mai à Madrid, et les 18 et 19 novembre à Cuba.

A défaut d'y assister, vous pouvez également adresser vos dons, par courrier à UNICEF BP 600 / 75006 Paris, ou en ligne sur www.unicef.fr

Et là en bonus une vidéo de Raul, je n'ai pas pu résister...



Partager cet article
Repost0
9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 22:08
By Rédaction AHORA  / Thursday, 09 April 2009  /  redaccion@ahora.cu

Cuba a avancé ce mercredi des propositions pour la modification des méthodes du Conseil de sécurité de l'ONU.

Au cours d'une session consacrée à l'analyse de la question à l'Assemblée Générale des Nations-Unies, l'ambassadeur de Cuba auprès de l'ONU, Abelardo Moreno, a signalé que le Conseil de sécurité n'est ni transparent, ni démocratique ni efficace.

Il a ajouté que cette instance devait augmenter le nombre de réunions publiques et réduire au minimum les réunions à huis-clos ainsi que les consultations officieuses.

L'ambassadeur de Cuba a également recommandé de lier plus étroitement l'Etat concerné aux discussions sur les questions l'affectant et de faire état, dans les résolutions et les déclarations du Conseil, des critères versés par les Etats membres au cours des débats publics.

Au nom de Cuba, il s'est aussi prononcé pour l'officialisation du règlement du Conseil, provisoire depuis sa fondation il y a plus de 60 ans déjà et pour la rédaction d'ordres du jour reflétant les intérêts et les besoins des pays en voie de développement.

" Pour Cuba, a-t-il relevé, la réponse est qu'il n'y aura pas de véritable réforme des méthodes de travail du Conseil de sécurité tant qu'une réforme authentique de cet organe dans son ensemble n'aura pas lieu . Nous sommes convaincus que nous n'obtiendrons pas de changements profonds dans les méthodes de travail tant que le Conseil ne sera pas élargi dans les deux catégories de membres -permanents et non-permanents- et que les pays en voie de développement n'y seront pas représentés d'une façon adéquate "

Cuba estime que le Conseil de sécurité devrait avoir au moins 25 membres dont un minimum de deux pays africains, deux pays asiatiques et deux pays latino-américains et caribéens.

" Avec cette composition, le Conseil serait plus proche de la distribution géographique équitable à laquelle nous aspirons " a relevé l'ambassadeur de Cuba auprès des Nations Unies. / RHC
Partager cet article
Repost0
3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 14:44

Hugo Chavez demande à Barak Obama de lever le blocus

Agence France-Presse
Washington

Une délégation de sept membres de la Chambre des représentants américaine se rendra vendredi à La Havanne pour une visite de cinq jours et des «discussions sur les relations bilatérales» entre les Etats-Unis et Cuba, ont-ils indiqué dans un communiqué jeudi.

«Le but de cette visite est d'examiner les politiques commerciales vis-à-vis de Cuba, de discuter des échanges dans les domaines culturel, de la santé et universitaire», lit-on dans le communiqué diffusé par la représentante démocrate Barbara Lee, qui conduira la délégation.

Les autres membres sont Mel Watt, Emanuel Cleaver, Marcia Fudge, Mike Honda, Bobby Rush, Laura Richardson.

«L'élection du président Barack Obama représente une formidable occasion de repenser la politique étrangère américaine dans beaucoup de régions du monde», a affirmé Mme Lee citée dans le communiqué.

La rigidité des Etats-Unis «divise des familles, ferme un important marché à des agriculteurs américains en difficulté, excède nos alliés et est fondé sur un modèle obsolète datant de la Guerre froide», poursuit Mme Lee qui préside le groupe des parlementaires noirs à la Chambre.

Mme Lee recommande une «discussion ouverte et honnête» entre les deux pays.

Ce déplacement intervient alors que plusieurs parlementaires plaident en faveur de la disparition des restrictions sur les voyages à Cuba d'Américains d'origine cubaine ou d'agriculteurs américains.

Des projets de loi en ce sens ont été introduits dans les deux chambres du Congrès.

Les Etats-Unis, qui comptent environ un million de Cubains ayant fui le régime castriste, imposent un embargo à Cuba depuis depuis 1962.

Le Congrès a déjà voté début mars un allégement des restrictions sur les voyages à Cuba pour les Américains d'origine cubaine, leur permettant de s'y rendre une fois par an, au lieu d'une fois tous les trois ans, et de dépenser chaque jour jusqu'à 179 dollars, contre 50 dollars actuellement.

 

Partager cet article
Repost0
3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 14:37
  2009-04-03 07:59:58  

 

     WASHINGTON, 2 avril (Xinhua) -- Le sénateur américain Richard  G. Laugar a appelé le président Barack Obama à nommer un envoyé  spécial pour engager des discusssions directes avec Cuba, a  rapporte jeudi le Washington Post. 

     Dans une lettre adressée le 30 mars à Obama, le sénateur  républicain, membre de la Commission des Affaires étrangères, a  dit que les relations entre les Etats-Unis et Cuba compromettent  la plus grande sécurité du pays et les intérêts politiques dans  l'hémisphère occidental. 

     "Le sommet des Amériques du 17 avril en Trinité-et-Tobago  offrira une occasion unique pour vous de construire un climat plus accueillant dans la région grâce à un changement dans notre  politique sur Cuba", a écrit le sénateur. 

     M. Obama a dit lors de sa compagne présidentielle qu'il  adopterait une nouvelle stratégie sur Cuba, disant cependant que  l'embargo ne serait pas levée tant que le gouvernement cubain  n'améliore pas les droits de l'Homme et n'organise pas les  élections libres. 

     Le Sénat américain a adopté début mars un projet de loi visant  à assouplir les restrictions de voyages et l'exportation de  médicaments à Cuba, un signe que Washington est en train de  changer sa politique de longue date sanctionnant Cuba. 

     Les Etats-Unis et Cuba sont hostiles les unes aux autres depuis  la révolution cubaine en 1959. Washington a imposé des sanctions  économiques contre Cuba depuis 1962. 

     Le Congrès américain a approuvé les exportations de vivres et  de médicaments vers Cuba en 2000.

Partager cet article
Repost0