Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

  • : Cuba Si Lorraine
  • : blog des amis de Cuba en Lorraine
  • Contact

19610419-CubaVictoryPlayaGiron-crop.jpg
-
cooltext517277295.png
MILCIA---copie-1.jpg
cooltext517276476.png
cooltext517276264.pngcooltext517275991.png
cooltext517276810.png
             -
colonne-gauche-copie-1.jpg
.

logo-gauche.jpg
-
Capture-freeforfive.JPG
cuba-debate.jpg 1er-mai-cuba
Pour en savoir plus
Cliquez sur l'image !

Recherche

nos amis + liens utiles

  .

titre_891504.jpg
.
.
.
RHC-1.JPG
Cubavision-TV.jpg
.
.
cuba_linda.jpg
. 

Archives

cooltext518801341.png
cooltext518803453.gif

Catégories

 

Sans-titre-1-copie-3.jpg

neruda-fidel.jpg

  logo-bas-ok.jpg

 

22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 00:35

maree-noire-france_432_320.jpg

Dans la mesure où des révélations sont faites sur la véritable ampleur de la catastrophe écologique dans le Golfe du Mexique, à cause de la fuite de quantités énormes de pétrole, le monde est de plus en plus convaincu du fait que l'ère de la consommation effrénée de combustibles fossiles pourrait toucher à sa fin.

Les données les plus récentes indiquent, deux mois après l'explosion de la plate-forme Deapwater Horizon, de la transnationale British Petroleum, que le puit endommagé déverse 100 000 barils de brut par jour, soit 20 fois plus qu’indiqué dans les premiers jours.

En outre, toutes les tentatives de colmater la fuite ont échoué et l’option la plus optimiste est en ce moment d'attendre, jusqu'au mois d'août, les résultats de l’utilisation d’autres moyens pour pomper l’hydrocarbure déversé et colmater la fuite.


Personne n'a dit ce qui arrivera en cas de nouvel échec, bien que l’on suppose que des cerveaux privilégiés étudient le problème afin de trouver une solution.


Pendant ce temps des versions apocalyptiques, non confirmées scientifiquement, ont commencé à circuler, sur une fracture possible du lit marin qui rendrait le problème incontrôlable ce qui constitue une menace directe pour notre avenir en tant qu'espèce.


Personne ne peut avaliser sérieusement une telle théorie, du moins pour le moment, mais la catastrophe, qui a d’ores et déjà de grandes proportions, doit nous appeler à réfléchir à la nécessité d'un changement radical d'attitude sur un niveau de confort, de commodité ou de développement basée sur l'exploitation et la consommation irrationnelles d'une ressource non renouvelable, comme cela est le cas du pétrole.


Malheureusement, le comportement de ceux qui, en raison du pouvoir qu’ils détiennent, pourraient assumer le leadership d’une transformation positive sur la planète, démontre qu'ils n'ont aucune intention de le faire.


Nous savons déjà que le vrai objectif de l’invasion de l’ Afghanistan, n’était pas la capture d’un personnage obscur caché dans les grottes de ce pays d'Asie centrale, mais le contrôle d'énormes quantités de minéraux stratégiques pour l'industrie militaire, la technologie spatiale et les télécommunications.


Des navires de guerre américains et israéliens croisent en Mer Rouge et s’approchent dangereusement de l'Iran où, outre les installations nucléaires, dont personne n’a jamais prouvé qu’elles ont des objectifs militaires, il y a des réserves énormes de pétrole et de gaz.


Est-ce que la fuite de brut dans le golfe du Mexique deviendra un facteur d'accélération d’une agression contre l’Iran afin de s’emparer de ses ressources et de sa position géographique privilégiée?

Est-ce que le pire désastre écologique du 21e siècle passera sans laisser de leçons aux hommes?

Nous ne proposons pas de retourner au Moyen Age. L'humanité a le droit de préserver ses acquis et d’avancer pour atteindre de nouveaux objectifs.

. Ce que nous proposons est un débat sérieux sur ce que nous avons obtenu et le coût que cela a pour nos rapports avec la Nature.
La vie est basée sur une série d'équilibres, et chaque fois que nous modifions l’un d’entre eux toutes les autres espèces ressentent les effets. Imaginons donc ce qui peut arriver quand nous menaçons la 11e masse d’eau salée la plus grande de la planète, avec toute sa diversité de faune et de flore.

La question n'est pas de savoir si la BP paiera les pertes économiques qui sont, au bout de comptes, les moins élevées. La question est de savoir si nous sommes prêts pour un changement d'ère où la responsabilité collective soit supérieure au pouvoir des transnationales, où la qualité de vie compte plus que les bénéfices et où le recours à la force ou la menace de le faire disparaîssent comme un argument dans la solution des différends.

 

Partager cet article
Repost0

commentaires