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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 13:45

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 10:19

 

 

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 00:33

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Elvis Presley, Ray Charles, Roy Orbison et Joan Baez l'ont chanté. Johnny Cash l'a salué comme un poète. Kris Kristofferson, premier supporter et disciple avoué, n'a toujours cherché qu'à l'égaler. Bonnie Prince Billy ou Bill Callahan le citent comme guide quasi spirituel. Mais Mickey Newbury (1940-2002) et les disques qu'il a gravés demeuraient à ce jour le secret à peine gardé de ces illustres initiés.

Si en matière de musiques populaires – qu'elles soient rock, pop, country, soul ou variété – les découvertes semblent infinies, les révélations, authentiques, elles, sont rarissimes. La réédition, amoureusement confectionnée, des trois albums phares, publiés entre 1969 et 1973, du chanteur texan nous offre ce frisson d'exception.

Mickey Newbury ? Un prénom de dessin animé, un nom aux consonances de héros de bande dessinée pour un auteur et chanteur d'une grâce et d'une profondeur intenses, cruellement méconnu. Cruellement, mais pas injustement, puisque l'intéressé n'aura pas fait grand-chose pour qu'il en soit autrement. Le natif de Houston aux allures des plus classiques (cheveux courts bien peignés, jeans et chemises impeccablement pressés, bottes toujours cirées), en ces années 1960 mi-hippies, mi-psyché, était par nature et par choix un chanteur férocement libre et indépendant (un outlaw), pacifiquement mais fermement opposé aux carcans et règles du showbiz, de Nashville ou d'ailleurs.

La chanson la plus fameuse de Newbury est, ironie du sort, l'une des rares dont il n'a pas écrit le texte. An american trilogy, maintes fois reprise mais à jamais associée à l'interprétation qu'en fit Elvis Presley, est en réalité le plus audacieux des pots-pourris, des medleys. Un acte militant, d'un courage insensé, improvisé par Newbury lors d'un récital donné au Bitter End West de Hollywood, club de folk de Los Angeles, en novembre 1970. A l'époque, Dixie, l'hymne des sudistes lors de la guerre de Sécession, mais désormais récupéré par les suprémacistes blancs, était sur le point d'être interdit. Meurtri de voir le détournement de la chanson l'emporter sur sa vocation initiale – Dixie, écrit par un homme du Nord, était l'ode à la terre qui l'avait vu naître d'un esclave affranchi –, Newbury entonna son premier couplet, ralenti, dépouillé de son rythme martial, pour enchaîner sur Battle Hymn of the Republic, l'hymne du Nord, avant de terminer par All my trials, douloureuse protest song de révolte et d'espoir des années 1950. Bien plus qu'un assemblage, une véritable création, portée par l'extrême sensibilité vocale de Newbury. Le patron du club redoutait une émeute, on n'entendit dans la salle que des sanglots, suivis d'un long silence puis d'une assourdissante ovation.

Cette réaction pourrait accompagner l'écoute de toutes les chansons de Looks like rain, Frisco Mabel Joy et Heaven help the child. Des titres lents et longs pour la plupart, loin des canons en vigueur à l'époque, d'une insondable tristesse, d'une infinie beauté. Des histoires d'amours perdues ou manquées, de matins gris et de vies brisées ; avant tout d'éternelle solitude. « Quand je vais bien, disait Mickey Newbury, je n'ai nul besoin ni envie d'écrire. Ce n'est qu'au fond de la dépression que les mots jaillissent. La solitude est la matière dont sont faits les bons disques. Les chansons ne sont qu'un monologue, une conversation avec soi-même, dans lesquelles d'autres perçoivent l'écho de leurs propres tourments ou souffrances. »

Hanté par Francis Scott Fitzgerald ou Ernest Hemingway comme par les pionniers du blues, de la soul et de la country, le jeune et timide Newbury, aspirant poète et parolier dont la dépression chronique et la bipolarité ne seront diagnostiquées que la cinquantaine passée, avait servi, comme Kristofferson, dans l'armée, avant de tenter sa chance dans la chanson, offrant vite des succès à Tom Jones, Roy Orbison et à de nombreux ténors installés de la country - dont le classique Just dropped in (to see what condition my condition was in), sur les méfaits du LSD, pour son vieux camarade de classe Kenny Rogers, en 1968. Un statut qui lui vaut d'enregistrer un premier album sous son nom, à Nashville, mais qu'il reniera aussitôt, mécontent des arrangements surchargés, commerciaux, dont il est affublé. Avec ses royalties, le doux rebelle rachète sa liberté, autrement dit son contrat chez RCA et un bateau sur lequel il vivra, dans les eaux calmes du Old Hickory Lake. Là, autour de lui, s'installera la crème des artistes de la country, Johnny Cash, George Jones, Tammy Wynette, Guy Clark ou le tout jeune Steve Earle. Qui, comme Newbury, se laisseront bercer par les sons purs, de la vie ou de la nature (le craquement du bateau, la pluie sur l'eau, des trains passant au loin et les douces tintinnabulations des cloches à vent), qu'on retrouve, omniprésents, au cœur des enregistrements fragiles et méticuleux de Newbury.

Susanne, sa femme, avec qui il vécut jusqu'à sa mort et qu'il décida d'épouser, en 1969, dès leur deuxième rencontre, racontait : « Pour lui, c'était une évidence qu'on devait se marier. Je le connaissais à peine mais, en fait, à travers ses chansons, je savais déjà plus de lui que de n'importe quel autre homme. » Elle demeura la muse, le point d'ancrage, d'un homme déchiré entre euphorie et désolation, perpétuellement en quête d'absolu. Toujours perdu. « Lorsqu'il devait écrire un chèque, se souvient Susanne, il ne savait jamais le jour, ni le mois, ni même l'année où l'on était ! »

Hugo Cassavetti

Telerama n° 3205 - 18 juin 2011

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 01:09

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Il me reste la parole.

Si j'ai perdu la vie, le temps, tout
Ce que j'ai jeté comme un anneau dans l'eau
Si j'ai perdu la voix dans les mauvaises herbes
Il me reste la parole.

Si j'ai souffert de la soif, de la faim, de tout
Ce qui était mien et que ça n'a servi à rien
Si j'ai fauché les ombres en silence
Il me reste la parole.

Si j'ai ouvert les lèvres pour voir la face
Pure et terrible de ma patrie
Si j'ai ouvert les lèvres jusqu'à les déchirer
Il me reste la parole.

 

Me queda la palabra

Si he perdido la vida, el tiempo, todo
lo que tiré, como un anillo, al agua,
si he perdido la voz en la maleza,
me queda la palabra.

Si he sufrido la sed, el hambre, todo
lo que era mío y resultó ser nada,
si he segado las sombras en silencio,
me queda la palabra.

Si abrí los labios para ver el rostro
puro y terrible de mi patria,
si abrí los labios hasta desgarrármelos,
me queda la palabra.

                    Blas de Otero

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 00:53

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 12:35

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 11:55

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CE MERCREDI 1er DECEMBRE 2010

 

A 18H30

 

C’EST « L’HEURE DE L’METTRE »

 

Sur RADIO CAMPUS Lille 106,6

 

En direct et en archives sur www.campuslille.com

 

 

 

« Ils ont trompé leur monde. Ils ont profité des médias pour s’emparer des esprits et ils ont gouverné non seulement à coups de mensonges, mais encore de réflexes conditionnés. Un mensonge est une chose, un réflexe conditionné en est une autre : le mensonge trouble la connaissance ; le réflexe conditionné trouble la capacité de penser. Et ce n’est pas pareil d’être désinformé et d’avoir perdu la capacité de jugement parce qu’on vous a inculqué des réflexes : « Ceci est mauvais, ceci est mauvais ; le socialisme est mauvais, le communisme est mauvais », et tous les ignorants et tous les pauvres et tous les exploités ressassent : « Le communisme est mauvais. »

 

« Cuba est mauvaise, Cuba est mauvaise », leur dit l’Empire. Il le leur dit à Genève, il le leur a dit à des tas d’endroits différents, et tous les exploités de ce monde, tous les analphabètes et tous ceux qui ne reçoivent pas de soins médicaux ni d’éducation, qui n’ont pas un emploi garanti, qui n’ont absolument rien de garanti, en fait, ressassent : « La Révolution cubaine est mauvaise, la Révolution cubaine est mauvaise. » On a beau leur dire : « Oui, mais la Révolution a fait ceci et cela... Oui, mais il n’y a pas d’analphabète… Oui, mais la mortalité infantile est à ce niveau-là… Oui, mais tout le monde sait lire et écrire… Oui, mais il ne peut pas y avoir de liberté sans culture… Oui, mais il ne peut y avoir de libre choix sans connaissance… »

 

Est-ce la faute de l’analphabète ? Comment peut-il savoir si le Fonds monétaire est bon ou mauvais, ou alors que les intérêts sont plus élevés, ou que le monde est soumis à un pillage permanent à travers les milliers de méthodes de ce système-là ? Il ne le sait pas.

 

Ce système-là n’apprend pas aux masses à lire et à écrire. Il est capable de dépenser un billion de dollars tous les ans en publicité. Et ce n’est pas seulement ce qu’il dépense, mais à quoi il le dépense : il le dépense à créer des réflexes conditionnés, pour que vous achetiez Palmolive, et l’autre Colgate et l’autre encore Cadum, tout simplement parce qu’on vous l’a répété cent fois, qu’on vous l’a associé à une photo bien léchée, qu’on vous a fourré ça dans le crâne. Eux, qui parlent tant de lavage de cerveau, ce sont eux qui vous sculptent le cerveau, qui vous le modèlent, qui lui donnent une forme, qui vous enlèvent votre capacité de penser. Et encore s’ils enlevaient sa capacité de penser à quelqu’un qui sort d’une université et qui peut au moins lire un livre, ce serait moins grave. Mais l’analphabète, que peut-il donc lire ? Comment va-t-il savoir qu’on le berne ? Comment apprend-il que le plus gros mensonge de ce monde-ci, c’est de dire que c’est de la démocratie, le système pourri qui règne dans ce pays-là et dans la plus grande partie des autres pays qui l’ont copié ? Tout ceci fait un mal terrible.

 

Et alors vous ne cessez de prendre toujours plus conscience, jour après jour, jour après jour, et vous sentez toujours plus de répugnance, toujours plus de mépris, toujours plus de haine, toujours plus de condamnation, toujours plus d’envie de vous battre. C’est ce qui explique que vous pouvez finir par devenir au fil du temps bien plus révolutionnaire que vous l’étiez quand vous ignoriez bien de ces choses-là et que vous ne connaissiez que les facteurs de l’injustice et de l’inégalité. »

 

Pour ne pas troubler certains esprits qui trouveraient beau ce qui est écrit mais laid celui qui l’a dit, nous laissons à votre perspicacité le soin de trouver l’auteur de ces mots, ainsi que le contexte. Nous vous en dirons plus dans notre émission, peu avant la diffusion de la Semaine à Cuba. Et avant mercredi prochain, vous recevrez le lien vous permettant d’en lire plus…

 

Dans notre « ¼ d’heure en Palestine », nous nous entretiendrons avec Elsa, jeune nordiste de retour d’un séjour de deux mois à Naplouse.

 

Enfin, nous éplucherons les comptes de la Nation, histoire de voir ce que nous coûtent les notes des agences de notation.



"l'heure de l'mettre"
radio campus lille 106,6
en direct sur www.campuslille.com

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 08:36

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Francis Fernández: El tiempo hablará

CE MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010

 

A 18H30

 

C’EST « L’HEURE DE L’METTRE »

 

Sur RADIO CAMPUS Lille 106,6

 

En direct et en archives sur www.campuslille.com

 

 

Un chant bien connu nous enjoint de « tirer l’esprit du cachot ». Ce cachot métaphorique, nous y sommes toujours enfermés, bien que nos barreaux soient dorés et nos chaînes numériques. Attachés nous sommes, à la pensée dominante – le masque idéal du brigandage mondialisé.

 

Mais lorsque le racket ne nous laisse plus que les yeux pour regarder la télé, alors les masques tombent peu à peu, et nous entrevoyons, nue, toute la violence du profit qui nous écrase. L’écart entre notre réel et la vision qu’ils en proposent devient un gouffre que leurs sondages peinent à mesurer.

 

Ce qui manque, souvent, c’est d’apercevoir, au-delà de nos frontières, les mêmes sous d’autres masques. Trop lointains peut-être ? Ou est-ce le regard qui demeure trop métropolitain ? L’Internationale est un chant exigeant…

 

Ainsi, on s’en va répétant ce que l’ordre du jour des geôliers nous impose. Le dissident chinois, le prisonnier cubain, le terroriste palestinien, le dictateur vénézuélien, la menace iranienne, font la une et aiguisent les signatures prestigieuses des mêmes qui, face à nos colères et nos révoltes, font la grimace et opposent la fatalité du marché et sa dictature.

 

Si l’ignorance de ce qui se cache derrière ces masques lointains concourt à renforcer l’impérialisme, si elle met en péril les expériences évidemment discutables (mais qui veut bien en discuter ?) en Amérique Latine, si elle aide à étendre la colonisation, à banaliser l’occupation, si cette ignorance finalement sert la guerre à venir, elle n’est toutefois pas que (tout) cela.

 

Notre révolte, notre conscience de sa nécessité, ici et maintenant, face aux fossoyeurs de nos retraites, seront les victimes collatérales de défaites lointaines si nous continuons de croire ceux qui les présenteront comme des « victoires de la démocratie ». Il leur sera facile, alors, de nous remettre dans leurs pas, si nous croyons que les Chinois sont à l’origine de nos maux, si nous acceptons la fable du péril iranien, ou si nous nous coupons nous-mêmes des résistances des autres. Des nôtres, pour être exact.

 

L’Internationale est un bien nécessaire, comme on le chante à Cuba. Cuba confrontée au terrorisme yankee, lequel est doublé du terrorisme intellectuel le mieux payé de la planète, si l’on en croit la comptabilité des occupants de Guantanamo, les fils des assassins du Che. Ça ne vous fait rien, mais 5 prisonniers politiques cubains croupissent depuis 12 ans dans les geôles de la « plus grande démocratie du monde », celle qui choisit Pinochet  et ensanglanta le Nicaragua. Il en sera question dans la Semaine à Cuba, programme partagé avec nous par Radio Habana. Et à Lille, comme chaque mois, sur initiative de France Cuba Lille Métropole, il sera exigé, ce vendredi 26 novembre de 18h30 à 19h30, Place Charles de Gaulle, la libération des 5 Cubains anti-terroristes.

 

Dans notre « ¼ d’heure en Palestine », nous recevrons Leïla, une jeune palestinienne qui a vécu 7 ans derrière les barreaux de l’occupant, et Youssef, militant des droits humains en Palestine. Ils sont les invités de l’association Amitié Lille Naplouse, une amitié dont il faudrait rappeler le sens à Madame Aubry, laquelle condamne, lors de ses dîners sionistes, la solidarité avec nos amis, tout en réactivant la sienne avec ce que l’excellent journaliste israélien Gidéon Levy a qualifié de « ville la plus raciste d’Israël » : Safed. Le « dialogue » invoqué par la dirigeante « socialiste » pour justifier sa « neutralité », c’est un de ces fameux masques. Il cache ce que nous entendrons mercredi.

 

 



"l'heure de l'mettre"
radio campus lille 106,6
en direct sur www.campuslille.com

 

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 08:28

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bobby-carcasses-post-1.jpgL’élégance et la sophistication, la domination technique et la pureté du son, un virtuose qui sort la musique de l´espace, c’est ainsi que l’expérimenté musicien cubain Bobby Carcassés décrit le trompettiste Wynton Marsalis, un chevalier moderne du jazz.

La veille de l´arrivée de l’illustre musicien nord-américain à La Havane pour une série de concerts, de classes magistrales et de rencontres avec ses collègues cubains, Bobby rappelle la première visite de Wynton Marsalis : « C’était en juillet 1997, j´ai été chargé de lui préparer une décharge ou jam session dans le club havanais La zorra y el cuervo ».

Il mentionne les éloges que le célèbre trompettiste, compositeur et arrangeur a fait à son fils Roberto, « un pianiste de grande ouïe musicale » et de l’alors très jeune Yasek Manzano, le pupille du musicien cubain.

De cette rencontre, confirme-t-il, est née une relation musicale qui s’est ensuite approfondie quand le trompettiste cubain a étudié durant un an à New York.

Un autre aspect qu’il souligne de Wynton Marsalis est son intérêt pour connaître en profondeur l´appelée clé cubaine, dont Bobby Carcassés lui a expliqué les rudiments.

À son avis, cet intérêt de Wynton pour la musique cubaine et son attitude sans aucun préjudice envers Cuba explique dans bonne mesure sa nouvelle visite.

Son message sonore, avec des origines musicales et familiales enracinées à Nouvel Orléans, est « toujours chargé de sentiments, de vérités et de spiritualité », a-t-il souligné.

Bobby Carcassés n’a pas rencontré Marsalis depuis cette occasion, malgré les plusieurs récitals qu’il a offert dans la ville où vit le Nord-Américain. La plus récente a été pour la présentation de son disque De La Habana a New York, en février dernier, enregistré dans cette ville en 2006 avec la participation de plusieurs musiciens qui ont joué dans son Afrojazz, comme Dafnis Prieto, Yosvany Terry et Osmany Paredes.

Maintenant il attend de converser de nouveau avec lui, ici, sur la clé cubaine, une des clés magiques qui ouvre les portes du monde à notre musique.

Tiré de Cubarte

 

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 22:51

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