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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 16:55

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Banderolle flottant dans le ciel de Miami, Floride, USA.

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Les USA torturent en territoire cubain volé (Base militaire US de Guantanamo).


Les USA commettent tellement de meurtres, y compris par explosions, y compris de civils innocents dans le monde entier qu’il devient difficile de les compter.


Les USA maintiennent en prison 5 anti-terroristes Cubains.


Les USA augmentent les financements à l’anti-castrisme alors que les Américains meurent de faim et n’ont pas de logement..


Les USA n’ont toujours pas répondu aux interrogations suscitées par le drame du 11 Septembre qui leur a permis d’accuser de « terrorisme »… n’importe qui.


Les USA ont des bombes nucléaires dans le monde entier, dans les bases de l’OTAN.


Les USA accusent maintenant Cuba de « terrorisme » en venant de décider de coucher la République de Cuba sur la liste des pays « maudits » !!! Leurs présidents et ses soutiens deviennent alors emprisonnables, bombardables, assassinables,etc., SANS AUTRE FORME DE PROCES

 

Logique ? Oui, ça dépend selon quelle logique.

 

Celle de Posada Carriles, terroriste international qui vit aux USA sans y être inquiété, sûrement.

 

La Déclaration du Ministère des Affaires Etrangères de la République de Cuba : le Département d'État a inclus Cuba, pour la trentième fois, dans la liste bâtarde des "États protecteurs du terrorisme international"

 

Alma

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 22:15

imperialismo3.jpg

 

 

Nous sommes venus, nous avons vu, nous avons détruit, nous avons oublié…


Un résumé  mis à jour du charmant dossier de la politique étrangère américaine.

Document établi par William Blum

 

Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les États-Unis d'Amérique ont …. 

  1. Tenté de renverser plus de 50 gouvernements, dont la plupart avaient  été démocratiquement élus.  
  2. Tenté de supprimer un mouvement populiste ou nationaliste dans 20 pays.  
  3. Grossièrement interféré dans des élections démocratiques dans au moins 30 pays.  
  4. Largué des bombes sur les populations  de plus de 30 pays.
  5. Tenté d'assassiner plus de 50 dirigeants étrangers. 

Au total : depuis 1945, les États-Unis a effectué une ou plusieurs des actions ci-dessus, à une ou plusieurs reprises, dans les 69  pays suivants  (plus d'un tiers des pays du monde) :

  • Afghanistan
  • Albanie
  • Algérie
  • Angola
  • Australie
  • Bolivie
  • Bosnie
  • Brésil
  • Guyane Britannique (maintenant Guyana)
  • Bulgarie
  • Cambodge
  • Tchad
  • Chili
  • Chine
  • Colombie
  • Congo ( et Zaïre)
  • Costa Rica
  • Cuba
  • République dominicaine
  • Timor oriental
  • Équateur
  • Égypte
  • Salvador
  • Fidji
  • France
  • Allemagne (Allemagne de l'est en sus)
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  Comaguer

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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 22:24

Dans le Guide du Routard, emporté dans leurs bagages par de nombreux touristes pour connaître les « bonnes adresses », figurent des pages concernant l’histoire et la politique du pays visité.

 

Pour Cuba, le Guide du Routard s’appuie sur Reporter Sans Frontières :

 

RSF-dans-le-Guide-du-Routard-Adresse-de-RSF.jpg

 

 

Il n’est pas précisé si « ce texte » concerne uniquement les « atteintes à la liberté de la presse » - pour lesquelles il est enjoint au lecteur de « ne pas hésiter » à contacter RSF - donc il est légitime de supposer que toutes les pages »roses » intitulées « Hommes, culture et environnement » s’appuient sur les informations de RSF, dont, [grâce au patient travail de Salim Lamrani on sait ce qu’elles valent->http://www.legrandsoir.info/L-obsession-cubaine-de-Reporters-sans-frontieres.html].

 

Guide-du-routard-Hommes-culture-et-environnement.jpg

Le « régime » y est naturellement qualifié de « dictature de velours » et les Cubains ne sont pas « réellement libres »

 

A la 4° page (p. 68) Ernesto « Che » Guevara bénéficie d’un encadré rouge où il est qualifié, dans le titre et en majuscules, de « PETIT BOUCHER ».

 

A la p.90, il a droit au même encart rouge, avec pour titre en majuscules « LE CHE… BANQUIER ! »

 

P. 74, au chapitre « DROITS DE L’HOMME » (qui vient juste à la suite de celui intitulé « CUISINE »), il est écrit : « (…) le pouvoir de Raul Castro est toujours aussi répressif que celui de son frère et prédécesseur Fidel. Néanmoins, la mobilisation internationale autour de prisonniers politiques en grève de la faim a permis de voir quelques améliorations en ce domaine. La mort d’Orlando Zapata Tamayo http://cubasilorraine.over-blog.org/article-mort-de-zapata-tamayo-lettre-ouverte-au-journal-le-monde-45716333.html], en février 2010, a particulièrement ému la communauté internationale, et la longue grève de Guillermo Fariñas http://cubasilorraine.over-blog.org/article-dernier-show-mediatique-de-guillermo-fari-as-il-occupe-un-centre-de-sante-pour-se-faire-arreter-67373079.html], (…) pourrait aboutir à la libération d’une dizaine de détenus.

 

(…) Cher lecteur et routard, sachez que si vous avez des témoignages à apporter concernant les Droits de l’Homme à Cuba, l’équipe de chercheurs d’Amnesty est très intéressée. »

 

Suit l’adresse du « Cuba team », à Londres…

 

Répétition des mêmes … euh… « inexactitudes », p.190 : « La répression s’est à nouveau accentuée après le décès, le 23 Février, du dissident emprisonné Orlando Zapata Tamayo, à l’issue de 80 jours de grève de la faim. Un geste désespéré qui a fait des émules, comme le bouillant journaliste indépendant Guillermo Fariñas. »

 

Juste après suit l’adresse de RSF, qui devrait pourtant savoir que Guillermo Fariñas n’a jamais été un « bouillant journaliste indépendant » … mais un homme condamné pour violences par deux fois pour des agressions sur une femme et un vieux monsieur par la justice cubaine http://www.aporrea.org/tiburon/n169341.html%20+%20vid%C3%A9o]!

 

Enfin – à la suite d’omissions et autres « inexactitudes » - p. 190, vient la promotion du blog de Yoani Sanchez, « diplômée de philologie ».

 

Touristes à Cuba, plaignez-vous à RSF ou à Amnesty International… si le « régime » interdit l’entrée du Guide du Routard à Cuba !

 

Alma

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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 22:04

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WASHINGTON.— Les États-Unis ont infligé une amende de 374 400 dollars à la compagnie maritime française et de transport CMA CMG pour avoir fourni des services à Cuba, a révélé le Bureau de contrôle des avoirs étrangers (OFAC).

Cette entité placée sous la juridiction du Département du Trésor des États-Unis, qui a imposé la sanction, a accusé la société CMA CMG d’avoir violé les réglementations de ce Département vis-à-vis de Cuba.

CMA CGM est le troisième groupe mondial de transport par conteneur. Cette mesure est une nouvelle preuve des méthodes coercitives appliquées dans le cadre du blocus économique exercé par Washington contre notre pays. Depuis l’instauration du blocus, les préjudices causés au pays s’élèvent à ce jour à plus de 751 milliards de dollars.

Selon le bulletin de l’OFAC, le gouvernement étasunien aurait engagé une action contre la filiale de la CMA CMG basée à Norfolk, en Virginie, pour avoir accepté des paiements après avoir facilité des envois à Cuba. Le groupe français a également été accusé d’enfreindre des réglementations du Trésor sur l’Iran et le Soudan.

L’OFAC signale également dans son bulletin que certaines des marchandises acheminées vers Cuba pourraient être classées comme des produits agricoles et des médicaments.

         

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 10:11
Leyde E. Rodríguez HERNANDEZ
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photo : Oswaldo Paya


La signature du tristement célèbre Paul A. Paranagua est réapparue, le 27 juillet 2011, dans le journal français « Le Monde » émule, à Paris, du « Miami Herald », lorsqu’il s’agit de rendre scandaleuse la réalité cubaine actuelle pour faire paraître un article intitulé : « Cuba, l’opposition unie pour exiger des réformes ». « En réponse à la restructuration économique initiée par le gouvernement, les dissidents exigent la démocratie ». Ce titre trompeur, de même que le contenu infâme de l’article, méritent un commentaire, tout en sachant auparavant qu’il a été écrit d’une plume qui manque d’indépendance intellectuelle pour refléter la vérité.


Immédiatement, l’article massue renferme une profonde frustration à cause de l’impossibilité des Etats-Unis de briser la Révolution cubaine dans le contexte international actuel et l’incapacité de ses fidèles serviteurs dans l’Ile d’obtenir un changement dans la société cubaine pour servir les intérêts stratégiques du pouvoir impérialiste et des secteurs réactionnaires qui le soutiennent dans le monde.


Dans ce texte, est distillé l’insondable ressentiment et méfiance des vétérans mercenaires au service de l’empire envers de soi-disant jeunes bloggeurs qui, dès maintenant, s’érigent en nouveaux fers de lance contre la Révolution cubaine. Cependant, autant les uns que les autres, quoi que de générations différentes, ne se rejoignent pas par le désir sincère de réformes économiques et pour la démocratie pour leur pays, mais par le désir de notoriété personnelle et de lucre, en suivant la route de l’argent tracée depuis Washington et les institutions occidentales, toujours à la recherche de la meilleure opportunité pour attribuer un prix éblouissant flanqué de plusieurs milliers de dollars étasuniens ou d’euros.


Ce qui est certain, c’est que Paul A. Paranagua nous présente une histoire d’un inégalable sentiment humanitaire en faveur de la biographie d’un des plus remarquables valets des Etats-Unis à Cuba par l’œuvre et la grâce des campagnes médiatiques qui prennent naissance dans la super puissance et qui s’étendent complaisamment dans les grands médias européens, comme c’est le cas du journal « Le Monde ». Ainsi, on nous parle d’un Oswaldo Paya comme d’un illustre prophète de la politique plein de dévotion religieuse et porteur d’un dénommé « projet Varela » connu pour avoir les mêmes objectifs que le « Plan Bush » pour Cuba : le démantèlement du système politique socialiste et le début d’une transition, la boussole pointée vers les buts machiavéliques que les puissants cercles de pouvoir étrangers désirent imposer à la plus grande des Antilles. Si Paul A. Paranagua essaie d’impressionner l’opinion publique française avec un article chargé d’imprécisions et de faussetés sur les soi-disant opposants dont le plan scélérat est bien connu et ne jouit d’aucun respect ni d’aucune crédibilité parmi l’écrasante majorité des insulaires qui méprisent le défaitisme consistant à s’en remettre aux propositions de l’empire étasunien et à l’hégémonie des puissances étrangères qui est de plus en plus abhorrée par les sociétés d’Amérique Latine et des Caraïbes.


Il faut donner un large retentissement en France et en Europe au fait que les tâches des soi-disant dissidents ou opposants cubains sont étroitement liées à une politique criminelle contre leur propre pays puisqu’ils suivent en tant que comparses les chemins inacceptables qui justifient le blocus économique, commercial et financier, l’inclusion injuste de Cuba dans la liste des pays terroristes et dans toutes les « listes noires » que ceux qui se prétendent les maîtres de la planète veulent bien établir. Ces listes ont pour but de créer une ambiance internationale qui favorise le maintient du blocus et une intervention militaire contre un pays souverain qui a respecté de façon exemplaire le droit international et aspire seulement à construire un avenir de paix qui permette le développement économique au bénéfice de sa population et la coopération internationale entre les gouvernements et les peuples qui le désirent.


Dans la galerie de mercenaires présentés par Paul A. Paranagua, on trouve d’autres noms non moins répugnants, comme celui d’un certain Manuel Cuesta Morua qui fait de la doctrine social démocrate à Cuba un moyen de vie pour obtenir en échange de la publicité et un soutien financier extérieur. Il est connu que Manuel Cuesta Morua agit par avarice personnelle et qu’il manque de reconnaissance sociale. En outre, la social-démocratie est une conception qui n’a rien à voir avec l’histoire et la culture politique cubaines. De là, un manque de perspective dans la conception depuis l’extérieur d’une variante politique inopérante pour la réalité cubaine. A cela s’ajoute l’éclatant échec du modèle et des idées social-démocrates en Europe et sous d’autres latitudes, là où on a essayé d’appliquer ce paradigme en suivant les leçons des partis socio-démocrates européens qui se nomment socialistes, lesquels ont aussi défendu le système capitaliste et appliqué la politique économique néo-libérale lorsqu’ils étaient au gouvernement.


Sur son chemin pour l’exhibition de marionnettes au service des centres de pouvoir occidentaux, on remarque plusieurs noms que l’auteur classe dansd la droite libérale. Ce sont Marta Beatriz Roque, Hector Maceda, les Dames en Blanc, Laura Pollan ou Guillermo Fariñas. Tous bien placés dans leurs activités respectives à la solde du Bureau des Intérêts Nord-Américains à La Havane destiné à mettre en pratique sur le territoire cubain les priorités que poursuit la politique extérieure de subversion interne du gouvernement étasunien contre Cuba.


Il n’y a aucun doute que Paul A. Paranagua trompe à nouveau ses lecteurs avec une totale impunité et place le journal « Le Monde » dans une situation où il perd tout son prestige, lorsque ressort une unité inexistante dans un petit groupe de personnes sans influence politique ni crédibilité dans la société cubaine. Cela se produit simplement parce qu’ils constituent la courroie de transmission des inutiles désirs impériaux et à cause des dissensions permanentes qui les caractérisent à la recherche d’argent pour la réalisation de leurs intérêts individuels minables.


Il est évident qu’un semblable fléau social ne trouvera jamais de légitimité en un peuple qui a confiance dans ses dirigeants et qui vient de parcourir un intense processus de débat démocratique avec la participation de 9 millions de personnes, à la recherche de solutions aux problèmes de la société civile et pour l’actualisation du modèle économique dans la voie du développement socialiste.


Il est très probable que la réaffirmation du caractère socialiste de la Révolution, le 26 juillet , dans la ville de Ciego de Avila, a perturbé l’intelligence de Paul A. Paranagua. Peut-être de là sa motivation de citer une déclaration qui n’a d’unitaire que la publicité donnée par les pages du « Monde ». Le document mentionné, signé par un groupuscule, confond avec trop de facilité, la réalité cubaine avec les songes obstinés de l’Oncle Sam. Je ne sais pas pourquoi Paul A. Paranagua poursuit la chimère d’unir ceux qui ne se sont jamais identifiés dans une lutte véritable, ceux qui jamais ne pourront se réunir pour une cause commune car ils ne défendent pas un projet national de justice sociale, simplement démocratique et libre, qui se propose de préserver l’indépendance et la souveraineté de Cuba.


Paul A. Paranagua est un passionné d’une cause dépassée et chevauche hors du temps, aux côtés de ceux qui se mettent sous la tutelle de l’ennemi historique et futur de la nation cubaine : l’empire étasunien décadent et les vieilles puissances coloniales en crise économique sévère bien qu’elles aient encore d’énormes richesses résultant de la domination et du pillage, pendant des siècles, des pays colonisés.


Paul A. Paranagua, une fois de plus, écrit sur des personnages qui souillent pour toujours son travail professionnel. En soutenant un groupe réduit de personnes qui souhaitent le pire pour le destin de leur propre patrie et qui sont liés, pour certains d’entre eux, avec les organisations terroristes de Miami, il devient un complice des actions terroristes contre Cuba tout en sachant que, depuis longtemps, c’est un des acteurs les plus actifs, en France, du terrorisme médiatique contre le processus cubain.


Le travail des mercenaires et du journaliste qui les distingue est sordide par la nature de son contenu. Leurs motivations réelles sont reliées par le cordon ombilical du sacro-saint itinéraire de l’argent dispensé après que John Kerry, président de la Commission des Relations Extérieures du Sénat des Etats-Unis, ait dégagé officiellement 20 millions de dollars dans le but de financer ceux qui servent, à Cuba, les orientations de Washington sous la pression des agents de la mafia de Miami.


En lisant les textes de Paul A. Paranagua , j’ai observé sa grande incapacité à s’adapter et sa préoccupation pathologique pour les temps nouveaux favorables à Cuba sur la scène latino-américaine et internationale.


Il suffit d’un exemple : la reprise des relations normales de dialogue politique et de coopération bilatérale avec différents pays européens, dont la France, comme expression d’une étape d’opportunité entre états souverains et de l’analyse objective de politiques antérieures inopérantes et obsolètes qui avaient relâché les liens solides qui existaient dans divers secteurs entre les peuples et les états respectifs.


En ce sens, la « Position Commune » de 1996 est un exemple digne de foi de l’ échec du désir de changer le système politique cubain de l’extérieur en sous-estimant la capacité des Cubains à résoudre leurs propres problèmes et à défendre leurs conquêtes sociales, moyennant l’actualisation du modèle économique tout en préservant le socialisme, par la volonté manifeste de la société civile exprimée dans les débats publics qui précédèrent le 6° Congrès du Parti Communiste et qui se déroulent encore au sein des institutions cubaines.


Je crois que ce qu’il y a de meilleur dans le futur, c’est son caractère imprévisible mais nous, les Cubains, feront tout ce qui est humainement possible pour que Cuba ne retombe pas sous la domination coloniale étasunienne et pour que le pays ne soit pas dirigé par des fléaux sociaux irresponsables et incultes comme Oswaldo Paya, Manuel Cuesta Morua, Hector Maceda, Guillermo Fariñas, Marta Beatriz Roque et Laura Pollan car les exemples de gens soumis aux desseins des Etats-Unis sont légions dans l’histoire cubaine d’avant le 1° janvier 1959...


Le temps ne pourra effacer l’histoire, la dignité et la mémoire des peuples. je suis sûr que Paul A. Paranagua n’a jamais réfléchi à cela.


Les mercenaires, Paul A. Paranagua et « Le Monde » devraient tenir compte du suprême concept de la Révolution cubaine, à savoir qu’aucune personne qui se dresse contre la souveraineté nationale et la liberté du peuple cubain ne peut rester impunie, d’où qu’elle vienne.


(traduction Gaston Lopez)


URL de cet article 14367
http://www.legrandsoir.info/la-galerie-des-mercenaires-cubains-par-paul-a-paranagua-dans-le-journal-francais-le-monde.html
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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 18:15

mercenarios USA

Par Reynaldo Henquen

Wahington, 10 août (Cubadebate-RHC) – Sous les auspices de plusieurs institutions étasuniennes la presse a publié tous les documents obtenus aux États-Unis en vertu d’une demande invoquant la Loi de Liberté de l’Information qui révèle l’opération de propagande financée par le gouvernement étasunien pour créer le climat qui a permis la condamnation à des sanctions exorbitantes les 5 Cubains prisonniers politiques aux États-Unis depuis 1998.

Ces documents constituent une preuve irréfutable des paiements qu’a faits le gouvernement des Etats-Unis à des journalistes de The Miami Herald, du Nuevo Herald, du Diario de las Américas et des stations de radio et de télévision de Miami qui saturaient les médias de cette ville d’informations très provocatrices et nuisibles aux 5 qui faisaient l’objet du procès à ce moment-là. De tels agissements sont punis par les lois étasuniennes.

L’information obtenue par le Comité National pour la Libération des 5, l’organisation légale des droits civils Fondation de l’Association pour la Justice Civile et le quotidien Libération, fait partie des recours en habeas corpus présentés en faveur des 5. Il y a encore en suspens plusieurs demandes de documentation au gouvernement des Etats-Unis.

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 08:23
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photo : la hyper-réactionnaire Illeana Ros-Lehtinen, actuellement présidente de la Commission des Affaires Etrangères de la Chambre des Représentants.

Si l’intention de Ros-Lehtinen est de discréditer la politique étrangère US, elle est sur la bonne voie…



SI son objectif est de discréditer la politique étrangère des États-Unis et d’exhumer les concepts les plus rétrogrades de la Guerre froide, Ileana Ros-Lehtinen et ses collègues du Comité des Affaires étrangères de la Chambre des représentants nord-américains réalisent un travail d’exception.


Apparemment éprouvé par la vague de chaleur tropicale qui est montée ces derniers jours depuis la Caraïbe jusqu’au Canada, le clan d’extrême droite qui contrôle la politique étrangère à la Chambre basse du Capitole a produit un nombre, certainement record, de résolutions grossièrement impérialistes inspirées par le mépris, y compris la haine de tout ce qui ne s’agenouille pas devant le pouvoir impérial.


Commençons par Cuba : Ros-Lehtinen et son bras droit, Connie Mack, ont voté successivement en faveur de la privation des Cubano-américains du droit de voyager dans leur pays d’origine, comme au temps de l’ère Bush, et d’abroger les accords signés par Barack Obama autorisant un certain nombre de Nord-Américains de visiter Cuba, sous certaines conditions.


Dans son délire, Ros-Lehtinen a même fustigé les Cubano-américains qui rendent visite à leur famille ; elle a également voulu interdire le départ de vols à destination de Cuba depuis les aéroports des États-Unis, allant jusqu’à menacer les fonctionnaires pour qu’ils cessent de délivrer des autorisations de voyage que permet la loi.


ILS S’EN PRENNENT MÊME À L’OEA


Venons-en maintenant à l’Amérique latine, que ce clan qui a toujours vécu à Miami considère aux portes de l’enfer : Ros-Lehtinen et les siens ont voté en faveur de la suppression de toute aide nord-américaine à l’Argentine, à l’Équateur, à la Bolivie, au Nicaragua et au Venezuela, sauf bien sûr à l’USAID et autres agences de pénétration dont les tâches d’intelligence sont indispensables.


Par ailleurs, la bande de Ros-Lehtinen s’est prononcée contre l’apport de financement de l’USAID aux pays qui, et c’est un comble : « ne votent pas avec les États-Unis à l’ONU ».

Le noyau de celle qu’on appelle « La sorcière du Capitole » s’est même prononcé pour mettre fin au financement de Organisation des États américains (OEA), qui n’est rien d’autre qu’un appendice du Département d’État.


Et comme si la politique américaine envers le Moyen Orient n’était pas suffisamment méprisable compte tenu des multiples agressions contre l’Irak, l’Afghanistan et la Libye, ainsi que des menaces quotidiennes contre l’Iran, la Syrie et le Yémen, Ros-Lehtinen et son clan exigent maintenant tout un chapelet de conditions pour une assistance étasunienne, alors qu’ils soutiennent avec une fermeté coupable l’attribution traditionnelle d’une aide militaire et de prêts multimillionnaires à Israël, le pays qui dispose du plus grand nombre de lobbyistes dans les cercles du pouvoir de Washington.


Ils ont même réactivé la proposition poussiéreuse de déplacer à Jérusalem l’ambassade nord-américaine en Israël, alors qu’on refuse, de toute évidence pour plaire à la nation sioniste, l’aide à l’Égypte et au Yémen, sous le prétexte que ces pays sont sous le contrôle d’une « organisation terroriste étrangère ».


Quant au Liban et à l’Autorité nationale palestinienne (ANP), ils sont tous deux sont considérés comme faisant partie des réseaux du Hezbollah et du Hamas, et doivent être exclus de la distribution des bontés impériales.

Bien entendu, le Pakistan subit le chantage subtil dont Washington a habitué sa clientèle de bénéficiaires : la secrétaire d’État doit assurer le Congrès qu’Islamabad coopère servilement avec les opérations controversées « antiterroristes » des États-Unis.


« AU BORD DU PRÉCIPICE »


« Nous sommes sur le point de sortir de cette planète », a signalé le représentant Gary Ackerman, après avoir fait le bilan du délire de ses collègues.

Le désespoir de Ros-Lehtinen, de Mack et autres officiants de cette cérémonie, incompréhensible pour qui n’arpente pas les couloirs du capitole et n’est pas familiarisé avec sa faune, est directement issu de l’idéologie fascisante de l’extrême droite du Sud de la Floride.


Les déclarations ouvertement putschistes de Roger Noriega, l’ancien sous-secrétaire d’État pour l’Amérique latine, contre le Venezuela, viennent compléter le panorama du surgissement à Washington d’un cercle de fanatiques qui prétendent prendre le contrôle, aujourd’hui ou lors des proches présidentielles, de la politique étrangère d’un empire en plein déclin.


Noriega s’est occupé d’appeler les opposants vénézuéliens, déjà payés par les organes de subversion et de déstabilisation, « à se préparer » pour profiter de l’état de santé du président Hugo Chavez, et le priver du pouvoir par une nouvelle tentative de coup d’État.


À Washington comme à Miami, la mentalité putschiste qui amène à proposer des mesures extrêmes est le produit d’un même objectif : conquérir le pouvoir à coup de mensonges et de tromperies.


Un projet qui, au bout du compte, pourrait bien être celui des fossoyeurs d’un empire profondément malade.


Jean-Guy Allard

http://www.granma.cu/frances/internationales/28julfossoyeurs...

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http://www.legrandsoir.info/les-fossoyeurs-de-l-empire.html
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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 07:35

viajes-cuba-9agosto.jpgWASHINGTON, 8 août.— Abercrombie & Kent (A&K), une des premières compagnies étasuniennes à avoir annoncé les voyages à Cuba après lE soi- disant « assouplissement » décrété par le président Barack Obama, vient de suspendre les programmes de visites à Cuba, après les enquêtes menées par l’OFAC suite aux pressions exercées par « l’illustre » Ileana Ros-Lehtinen, représentante au Congrès de la mafia cubano-américaine de la Floride.

A&K, une agence de voyage de luxe, avait vendu à des citoyens nord-américains 13 excursions organisées avec la Fondation des Études caribéennes, qui s’était vu délivrer une licence du Bureau de contrôle des biens étrangers (OFAC), du département du Trésor des États-Unis.

Les pressions contre le projet entre la Fondation Études caribéennes et l’agence A&K ont redoublé après les plaintes portées par Mme Ros-Lehtinen, également connue comme la « sorcière du Capitole » auprès de l’OFAC, et la déclaration du Bureau, le 25 juillet, faisant état de plusieurs problèmes dans les accords passés entre l’agence de voyages et la Fondation basée en Californie.

 

Selon un communiqué, les entreprises qui ne disposent pas d’une licence pour organiser des voyages à Cuba ne sont pas autorisées à utiliser celle d’une autre entreprise, ce qui est le cas de l’agence A&K, a affirmé Jean Fawcett, porte-parole de l’organisation. (PL)


Granma 

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 08:54

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Alcatraz.

 

L’Amérique est-elle devenue une prison à ciel ouvert? Sorte d’Alcatraz de plus en plus isolée du reste du monde? Une démocratie rigide, sans assouplissement, muette du peuple, n’est qu’un totalitarisme travesti. Et ce totalitarisme est sans doute en train de se faire éplucher par son peuple.

 

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$

 

La longue cuite, et le lendemain de la veille

 

Depuis bientôt 40 ans les cowboys de l’Amérique,   à cheval sur leurs tanks, parcourent le monde dans une forme de colonialisme sanglante, reptilienne, pire que toutes celles qu’a connu l’Humanité.  Dommages collatéraux, argumentera-t-on, dans bien des cas. Le cowboy à carte de crédit,  quasi illimitée, est en train de couler comme coula le IIIe Reich : Hitler dans son bunker garda jusqu’à la fin l’espoir d’une victoire avec une armée fantôme formée de garçonnets et de vieillards.

Tout sur papier.

On a évolué : tout est maintenant virtuel.

Comme aux États-Unis : on entretient l’illusion. Wall-Street et le Berlin de 45  se ressemblent.

L’Iceberg est en vue. On a sans doute exagéré sur la gâchette de la planche à billets.  Les Lucky Luke n’auront peut-être  plus la chance ni l’argent pour terminer leur cavale.

Après une bonne cuite, ils vont bientôt devoir  vendre leurs bouteilles vides pour prolonger  leur party.

3000 milliards de dollars  pour la guerre en Irak uniquement.

On semble ne pas pouvoir récupérer ses « investissements ».

C’est quasiment une politique des terres brûlées à laquelle on va bientôt procéder.

Dans un pays où tous les rêves sont possibles, les cauchemars également.

 

La culture de la peur

 

Bel alibi! Les États-Unis risquent d’être attaqués. Le supposé péril est nourrit à des fins de déviation qui perdurent  depuis au moins  dix ans. Comme dirait le stand-up comique : les vrais  terroristes – et les meilleurs – sont à l’intérieur du pays. Les rats de la finance ont réussi à répandre à travers le monde leur méthode manichéenne, accolée à la « vente » de la démocratie.

Belle supercherie!

Avec une loi martiale latente, datant de 2008, le gouvernement américain semble tenir son peuple dans une main, d’une poigne fragile, dans un pays où les armes en libres circulation risquent d’allumer la mèche  d’une  défense  dont certains diront qu’elle sera illégitime. Ce ne sera pas un mouvement organisé. Car celui qui s’organisera en sera un bien « civilisé ». Et dans les civilisés se trouvent des détraqués nés d’une civilisation aux valeurs verbales  mais non pratiquées. De là le danger.

L’Aigle a plus de plomb dans l’aile que dans le crâne…

Voilà la balançoire de l’opinion américaine qui ne sait plus distinguer Diable et Dieu.

On va cinq  jours à la banque et un à l’église.

 

La carte de crédit de l’État policier

 

Tant que la carte de crédit pourra payer les milices-caméléon  multiples, peu visibles – secret d’État obligeant,   et   manipuler les masses, on tiendra le « coup ».

L’argent a été et est encore le carburant qui sert à payer des escouades anti-émeute.   On croit pouvoir respirer en multipliant les masques … Dans  un monde étouffant où tous, au nom de la sécurité nationale, sont surveillés, épluchés, harcelés. Bref, contrôlés à la sauce orwellienne.

David Cole qui est professeur à l’école de droit de Georgetown a écrit dans The Nation que le Congrès en mai dernier a autorisé la remise en application de certaines parties du « Patriot Act » si mal nommé, qui permettent au gouvernement de faire des écoutes au hasard sans identifier la personne ou le téléphone qui doivent être écouté, d’obtenir des documents des bibliothèques ou des entreprises sans avoir à prouver de quelque manière que ce soit que leur cible est impliquée dans une action criminelle et encore moins terroriste ; et d’utiliser des outils et instances de surveillance auparavant réservés aux espions de gouvernements étrangers ou d’organisations terroristes, à des « loups solitaires » qui ne sont affiliés à aucun de ces groupes ni à aucun gouvernement. C’est un écho du système ECHELON que les USA et ses alliés du Commonwealth britannique utilisent depuis la seconde guerre mondiale pour mettre sur écoute toute la planète, traquer les dissidents et voler les secrets de fabrication.

Cole écrit aussi que le procureur général Eric Holder va désormais autoriser les agents du FBI « à fouiller les poubelles des citoyens, à mener des recherches dans les données des ordinateurs et à utiliser de manière répétée des brigades de surveillance, pour traquer des gens qui ne sont pas suspectés du moindre délit, sans avoir besoin d’autorisation légale. » (exactement comme pour la fouille des passagers à la gare des autobus). L’absence d’autorisation légale est significative car la justice est le seul rempart du citoyen contre les abus de pouvoir de la police. Et maintenant ce rempart a disparu. Les peuples d’Afghanistan et d’Irak ont souffert bien davantage sous la botte de l’armée dirigée par les USA.legrandsoir.info 

Muet, le citoyen américain regarde maintenant son  pays miné par ses « tyrans élus », gruger ce à quoi  a toujours aspiré le pays : la liberté. On dirait qu’il est incapable de se souvenir de 10 ans d’Histoire.

 

Et où est passée la jeunesse pour protester?

 

Sans doute en mission ailleurs…

 

L’avenir 

 

Quand le « plus grand pays du monde » n’arrive pas à payer son épicerie, sauf avec une carte de crédit, il ne reste plus qu’à scénariser l’écroulement freiné à coups d’emprunts et de contrôles sur la population.

Et, comme toujours, à ses dommages collatéraux sur la planète…

Critiquée du reste du « monde », voilà l’Amérique en devenir d’un rocher figé au milieu d’un plan d’eau. Un Alcatraz de plus de 300 millions de citoyens. L’Amérique est carcérale et ne sort que pour des « missions patriotiques ».

Comme Las Vegas, cette ville bâtie dans un désert, où tous les jeux sont permis- la représentation même de l’illusion américaine – le pays ne se relèvera pas : tous les jetons ont été utilisés.

Il y a trop de Capone en liberté,  toujours actifs.  Le célèbre Al est mort de syphilis après s’être fait coincer … par l’impôt. Ça ressemble étrangement à de « l’argent caché »…

 

Un pays « libre » : une main sur la bible, un fusil dans l’autre


Avec un système carcéral comptant près de 2.5 millions de prisonniers – on devrait relâcher les  petits « hold-upeurs » de dépanneur pour faire une peu place aux grosses pointures blanchies à même la sueur du citoyen américain. Mais ça ne se passera pas ainsi. La corruption a l’argent pour entretenir la corruption. L’Amérique – comme on l’appelle – est devenue une négrière à force de blanchir et javelliser sa méprise du peuple.

Oui, on peut tout en Amérique.

On peut bien continuer de chanter « God Bless America », mais l’Amérique est une église dans laquelle on a laissé entrer trop de ces hypocrites, une main sur la bible, un fusil dans l’autre. La voilà devenu  un gros bateau  qui finira bientôt ses jours dans une bouteille vide…

 

titanic-bouteille.jpg

*****

 

P.S. : Oui, le moteur ronronne toujours, avec quelques teufs-teufs et des odeurs d’huile bouillante. On s’active à engorger de charbon la fournaise du moteur.  On en manque, on va en chercher ailleurs.

Une démocratie d’apparence ainsi qu’une richesse d’apparence. Ajoutons à cela, le gouffre démocratique, sa structure complexe, et la disette de dialogue entre le peuple et les « élus ».

Le moteur tourne toujours, mais comme  dirait Marc Lafontan :

Fin de la transmission :

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Source : LA VIDURE

 

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 01:11
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